Les cinq plus grandes compagnies aériennes européennes (Air France-KLM, easyJet, International Airlines Group, Lufthansa Group et Ryanair) soutiennent la proposition stratégique de la commission européenne pour une industrie de l'aviation européenne plus forte et plus compétitive.
Regroupées en force de lobbying, les 5 compagnies européennes demandent que des actions concrètes soient menées pour lutter contre "les importants monopoles aéroportuaires, les coûts élevés, la taxation ou encore l'inefficacité qui sont autant d'éléments qui caractérisent actuellement la chaîne d'approvisionnement aéronautique".
Elles demandent que, par des actions concrètes, elles puissent proposer à leurs clients davantage de vols à des tarifs moins élevés et dénoncent la hausse des taxes aéroportuaires qui "ont augmenté de plus de 65 % au cours des dix dernières années, ce qui est en contradiction directe avec la baisse des tarifs pratiquée par les compagnies européennes". Leur objectif: générer de la croissance et créer de nouveaux emplois en Europe, dans le secteur de l’aviation et au-delà.
Une déclaration d'intention qui a peu de chance de dépasser les frontières de la bonne idée. Une sorte de "yaka faukon" pétri de bonnes intentions dans un univers concurrentiel.
Elles demandent que, par des actions concrètes, elles puissent proposer à leurs clients davantage de vols à des tarifs moins élevés et dénoncent la hausse des taxes aéroportuaires qui "ont augmenté de plus de 65 % au cours des dix dernières années, ce qui est en contradiction directe avec la baisse des tarifs pratiquée par les compagnies européennes". Leur objectif: générer de la croissance et créer de nouveaux emplois en Europe, dans le secteur de l’aviation et au-delà.
Une déclaration d'intention qui a peu de chance de dépasser les frontières de la bonne idée. Une sorte de "yaka faukon" pétri de bonnes intentions dans un univers concurrentiel.
