Ce texte a été publié le 8 mai 2013 -
Une étude américaine publiée en janvier 2013 et qui, avouons-le, n'avait pas laissé de traces à l'époque, révélait que l'arrivée du téléphone portable dans les hôtels depuis le début des années 2000, aurait couté 12 milliards de dollars aux hôteliers qui ne pouvaient plus vendre à prix exorbitants des minutes de téléphone dans le monde entier. La même enquête affirmait que la montée en puissance du PC portable représentait une perte de 4 milliards de dollars pour le Pay per View, principalement pour les films érotiques.
Sur quelles données se base l'étude ? Difficile de le savoir, aucune méthodologie n'étant là pour l'expliquer. Je l'ai toujours dit et écrit : j'aime bien l'absurdité de certains chiffres. Non pas que je les mette en doute mais simplement parce qu'ils ne servent à rien. Tenez, prenons l'exemple des frais additionnels dans l'aérien. Il y en aurait 180. Du bagage à l'impression de la carte d'embarquement en passant par la lecture de la presse sur les écrans individuels voire à un abonnement à une agence matrimoniale - qui diffuse en plein vol les photos de possibles futures épouses ! Et les autres ? Même en posant la question aux meilleurs spécialistes, je n'arrive pas aux chiffres fournis ! Quelle déception moi qui traque l'insolite pour mes éditos.
Continuons. Vous apprendrez aussi (merci la GBTA) que 2014 sera le Nirvana du voyage d'affaires. Ah bon ! Merci aux enquêteurs pour cette giclée de bonheur, même si la déception nous guettera vite. On se croirait en période d'élections présidentielles. Dans la foulée, Amex nous dit que le voyage d'affaires est essentiel pour 8 cadres sur 10. Moi j'ai toujours aimé les méthodes Coué comme outil de communication. Il est vrai que partir dès 4 heures du matin pour revenir le soir à 22 heures, frais et dispo, est un rêve. Que 8 sur 10 apprécient cette convivialité extrême de la classe éco qui permet d'être tactile avec son voisin, formidable. L'une des bases de la relation humaine selon Freud. Je passe sur les contraintes et la grogne syndicale naissante dans les grands groupes. Ils n'ont rien compris ces empêcheurs de voyager en rond. Que reste t-il dans ma besace très mathématique ce matin ? Une quatrième édition du Market Place que, personnellement j'ai aimé. Les salles de conférence, tous sujets confondus, étaient bien remplies. Non, je n'ai pas de chiffres précis, sans doute entre 120 et 150 personnes par rendez-vous. Je ne sais pas non plus combien de visiteurs sont venus ! Ni même combien de prospects ont visité les stands. C'est bien la preuve que l'on n'est pas toujours obligé de quantifier ce que l'on aime ! Et parfois, la qualité prime sur la quantité. Résultats en début de semaine.
Marcel Lévy
Continuons. Vous apprendrez aussi (merci la GBTA) que 2014 sera le Nirvana du voyage d'affaires. Ah bon ! Merci aux enquêteurs pour cette giclée de bonheur, même si la déception nous guettera vite. On se croirait en période d'élections présidentielles. Dans la foulée, Amex nous dit que le voyage d'affaires est essentiel pour 8 cadres sur 10. Moi j'ai toujours aimé les méthodes Coué comme outil de communication. Il est vrai que partir dès 4 heures du matin pour revenir le soir à 22 heures, frais et dispo, est un rêve. Que 8 sur 10 apprécient cette convivialité extrême de la classe éco qui permet d'être tactile avec son voisin, formidable. L'une des bases de la relation humaine selon Freud. Je passe sur les contraintes et la grogne syndicale naissante dans les grands groupes. Ils n'ont rien compris ces empêcheurs de voyager en rond. Que reste t-il dans ma besace très mathématique ce matin ? Une quatrième édition du Market Place que, personnellement j'ai aimé. Les salles de conférence, tous sujets confondus, étaient bien remplies. Non, je n'ai pas de chiffres précis, sans doute entre 120 et 150 personnes par rendez-vous. Je ne sais pas non plus combien de visiteurs sont venus ! Ni même combien de prospects ont visité les stands. C'est bien la preuve que l'on n'est pas toujours obligé de quantifier ce que l'on aime ! Et parfois, la qualité prime sur la quantité. Résultats en début de semaine.
Marcel Lévy
