CBT Conseil dévoile les résultats de son dernier baromètre sur les mutations sociétales dans le business travel en France. Les données seront détaillées lors de l'événement G.Mindset, jeudi 22 novembre à 14h.
Le cabinet CBT Conseil se penche sur l'évolution comportementale et sociétale dans le marché du voyage d'affaires. Plus difficile d’appréhender les nouvelles générations de collaborateurs ? Même si la majorité des voyageurs d’affaires pense qu’il est plus difficile de fidéliser les nouvelles générations à 56,5%, ils considèrent toutefois qu’il n’est pas compliqué de les manager à 45,5%. Perception paradoxale quand on observe les 2 principaux adjectifs pour décrire le fait de les manager : 34,8% le qualifient d’agréable contre 53,4% “déroutant”, comprenant l’avis à 80% de managers. Ce qui est sûr : les nouvelles générations ne sont pas “mal perçues”, néanmoins il y a un réel enjeu de compréhension et d’écoute entre générations pour des relations Win-Win.
Des caractéristiques en demi-teinte pour les nouvelles générations, 56,5% des sondés mettent en avant la collaboration comme qualité principale des Millenials. A contrario leurs principaux défauts seraient d’être individualistes à 39,1% et de se lasser rapidement à 45,1%.
Le bien-être et le bonheur en entreprise sont des axes aujourd’hui avérés comme étant bénéfiques à la performance de l’entreprise, de plus en plus d’organisations intègrent ces notions dans leur stratégie de développement. Sur les 65,2% d’entreprises qui impliquent le paramètre du bien-être des collaborateurs, les grandes entreprises sont les plus nombreuses. Le bonheur quant à lui reste une notion encore très peu développée quand on constate que ce sont principalement les entreprises de moins de 10 salariés qui l’intègrent dans leur axe stratégique.
Mais il y a encore 30,4% des organisations qui ne prennent en compte aucun de ces 2 principes.
L’encadrement du bleisure est aujourd'hui une nécessité pour s’adapter aux nouvelles habitudes. Même si 58,7 % des collaborateurs pratiquent le bleisure lors de leurs déplacements professionnels - par le biais d’extensions de séjour en tête -, ils sont encore 71,7% à ne pas avoir cette mention dans leur politique voyages.
Quand les pratiques B2C s’invitent dans le B2B : 86% des collaborateurs utilisent les services des nouveaux acteurs de l’économie collaborative et digitale. Cependant, ces pratiques ne sont pas encadrées via la PVE pour 60,9% d’entre eux. Pourquoi les entreprises n’adaptent pas leurs Politique Voyages Entreprises ? Le frein principal est le blocage hiérarchique d’après 34,8% des voyageurs d’affaires.
Etude réalisée à partir d’un questionnaire mis en ligne durant 1 mois, auprès d’un échantillon de 210 personnes représentatif des français actifs effectuant régulièrement des voyages d’affaires (acteurs du business travel : managers, décideurs, acheteurs, RH et Travel managers). La représentativité de l’échantillon a été assurée grâce à un redressement appliqué aux variables suivantes : sexe, âge, région, profession et fréquence de voyages d’affaires.
Des caractéristiques en demi-teinte pour les nouvelles générations, 56,5% des sondés mettent en avant la collaboration comme qualité principale des Millenials. A contrario leurs principaux défauts seraient d’être individualistes à 39,1% et de se lasser rapidement à 45,1%.
Le bien-être et le bonheur en entreprise sont des axes aujourd’hui avérés comme étant bénéfiques à la performance de l’entreprise, de plus en plus d’organisations intègrent ces notions dans leur stratégie de développement. Sur les 65,2% d’entreprises qui impliquent le paramètre du bien-être des collaborateurs, les grandes entreprises sont les plus nombreuses. Le bonheur quant à lui reste une notion encore très peu développée quand on constate que ce sont principalement les entreprises de moins de 10 salariés qui l’intègrent dans leur axe stratégique.
Mais il y a encore 30,4% des organisations qui ne prennent en compte aucun de ces 2 principes.
L’encadrement du bleisure est aujourd'hui une nécessité pour s’adapter aux nouvelles habitudes. Même si 58,7 % des collaborateurs pratiquent le bleisure lors de leurs déplacements professionnels - par le biais d’extensions de séjour en tête -, ils sont encore 71,7% à ne pas avoir cette mention dans leur politique voyages.
Quand les pratiques B2C s’invitent dans le B2B : 86% des collaborateurs utilisent les services des nouveaux acteurs de l’économie collaborative et digitale. Cependant, ces pratiques ne sont pas encadrées via la PVE pour 60,9% d’entre eux. Pourquoi les entreprises n’adaptent pas leurs Politique Voyages Entreprises ? Le frein principal est le blocage hiérarchique d’après 34,8% des voyageurs d’affaires.
Etude réalisée à partir d’un questionnaire mis en ligne durant 1 mois, auprès d’un échantillon de 210 personnes représentatif des français actifs effectuant régulièrement des voyages d’affaires (acteurs du business travel : managers, décideurs, acheteurs, RH et Travel managers). La représentativité de l’échantillon a été assurée grâce à un redressement appliqué aux variables suivantes : sexe, âge, région, profession et fréquence de voyages d’affaires.