En présence de l’ambassadrice de la marque Kristin Scott Thomas, MGallery a inauguré son premier hôtel au Royaume Uni, le St Ermin’s. L'établissement, en plein cœur de Londres, a une identité propre, un design unique et un service irréprochable. La collection MGallery, lancée en septembre 2008 par Accor, s’étend aujourd’hui sur les cinq continents et s’élargira à plus de 150 résidences d’ici à fin 2015.
Situé dans le quartier St James, le St Ermin’s bénéficie d’un emplacement central entre Buckingham Palace et l’Abbaye de Westminster. Les 331 chambres qui allient des éléments de décoration moderne à un style classique ont été réfléchies pour être un lieu aussi bien dédié au repos qu’au travail. Elles sont équipées d’un bureau, d’Internet filaire et Wi-Fi, d’une TV LCD ou encore d’une station d'accueil MP3. L’hôtel propose 3 points de restauration dont le Caxton Grill qui peut recevoir 70 convives et a un salon privé. Il dispose également d’aménagements de pointe pour satisfaire une clientèle tant loisirs qu’affaires : un espace fitness doté d’un équipement sportif et d’un espace de remise en forme ; 14 salles de réunion pouvant accueillir jusqu’à 200 personnes. Un organisateur professionnel est disponible sur demande pour personnaliser ces événements privés.
Comme tous les établissements MGallery, le St Ermin’s est un lieu chargé d’histoire : pendant la Seconde Guerre Mondiale, c’est dans cet immeuble que le chef du gouvernement anglais Sir Winston Churchill organisa avec ses équipes certaines opérations secrètes. On raconte aussi que dans les années 50, un espion aurait dérobé des documents secrets au ministère des Affaires étrangères en empruntant un passage souterrain reliant l’hôtel au Parlement. Ce tunnel existerait encore, sous le majestueux escalier qui coiffe le lobby.
Comme tous les établissements MGallery, le St Ermin’s est un lieu chargé d’histoire : pendant la Seconde Guerre Mondiale, c’est dans cet immeuble que le chef du gouvernement anglais Sir Winston Churchill organisa avec ses équipes certaines opérations secrètes. On raconte aussi que dans les années 50, un espion aurait dérobé des documents secrets au ministère des Affaires étrangères en empruntant un passage souterrain reliant l’hôtel au Parlement. Ce tunnel existerait encore, sous le majestueux escalier qui coiffe le lobby.
