Comme évoqué depuis des semaines, la vente des A380 de Malaysia Airlines touche directement la France. L’appareil sera retiré dès le mois prochain ou tout début septembre. A la clé, une réduction de près de 50 % de la capacité proposée au départ de Paris.
Le choix du 777 configuré en bi classes (35 business et 247 en éco), permettra de maintenir la ligne mais devrait fragiliser la place de Malaysia en Europe après l’arrêt de Francfort. Cette décision va rendre plus difficile les liaisons avec la Malaisie d’autant qu’Air France a également annoncé son retrait de la destination dès la mise en place du programme hiver le 25 octobre prochain.
Pour Christoph Mueller, le nouveau patron de la compagnie malaisienne, le ciel s’assombrit. La restructuration de la compagnie - qui devrait coûter près de 2 milliards de dollars - devra se faire avec un personnel fortement réduit (entre 20 et 24 000 licenciements annoncés) et face à une concurrence exacerbée en Asie. Malaysia ne cache pas qu’au-delà de la reconquête des clients, c’est toute l’organisation commerciale qui est désormais à repenser.
L’idée de limiter le développement international en poursuivant la fermeture de lignes ou de fréquences fait son chemin et un plan simplifié de développement en Asie avec la mise en place de liaisons régionales, solution pourtant rejetée par Christoph Mueller, refait surface. La nouvelle structure qui va se mettre en place réfléchit désormais au développement de Firefly sur les liaisons de moins de 4 heures. Réponses en septembre prochain avec la présentation de la stratégie, de l’organisation définitive du groupe et des filiales.
Pour Christoph Mueller, le nouveau patron de la compagnie malaisienne, le ciel s’assombrit. La restructuration de la compagnie - qui devrait coûter près de 2 milliards de dollars - devra se faire avec un personnel fortement réduit (entre 20 et 24 000 licenciements annoncés) et face à une concurrence exacerbée en Asie. Malaysia ne cache pas qu’au-delà de la reconquête des clients, c’est toute l’organisation commerciale qui est désormais à repenser.
L’idée de limiter le développement international en poursuivant la fermeture de lignes ou de fréquences fait son chemin et un plan simplifié de développement en Asie avec la mise en place de liaisons régionales, solution pourtant rejetée par Christoph Mueller, refait surface. La nouvelle structure qui va se mettre en place réfléchit désormais au développement de Firefly sur les liaisons de moins de 4 heures. Réponses en septembre prochain avec la présentation de la stratégie, de l’organisation définitive du groupe et des filiales.
