Près de 80 conducteurs de moto-taxis se sont rassemblés lundi 21 mars pour protester contre l’entrée en vigueur de la nouvelle législation. Ils s’opposent à la limite de quatre ans imposée à leur véhicule, et demandent des emplacements réservés à proximité des gares et des aéroports. Le compte à rebours est lancé : la nouvelle règlementation entrera en vigueur le 1er avril.
La nouvelle règlementation interdit aux moto-taxis de stationner devant les gares et les aéroports sans réservation préalable, sous peine d’une sanction dissuasive : un an de prison, 15.000 euros d’amende, cinq ans de suspension du permis de conduire, et immobilisation – voire confiscation – du véhicule.
80 conducteurs de moto-taxis ont donc donné de la voix, ce lundi, place de la Bastille, pour demander des amendements à ce texte, vers plus de souplesse. Ils ont notamment évoqué la menace du chômage qui planerait sur nombre d’entre eux en cas d’application stricte de la loi, et prévenu qu’une telle règlementation favoriserait le recours à la clandestinité.
La dernière manifestation de la profession, organisée le 5 mars à Paris, avait réuni près de 130 conducteurs de moto-taxis.
80 conducteurs de moto-taxis ont donc donné de la voix, ce lundi, place de la Bastille, pour demander des amendements à ce texte, vers plus de souplesse. Ils ont notamment évoqué la menace du chômage qui planerait sur nombre d’entre eux en cas d’application stricte de la loi, et prévenu qu’une telle règlementation favoriserait le recours à la clandestinité.
La dernière manifestation de la profession, organisée le 5 mars à Paris, avait réuni près de 130 conducteurs de moto-taxis.
