La compagnie australienne est menacée d’un mouvement de grève massif par le syndicat Transport Workers’ Union, qui réclame des augmentations de salaires. Le TWU souligne le chiffre de 9000 grévistes potentiels, et évoque des impératifs liés à la sécurité. Qantas y voit pour sa part une «démarche tactique», et rappelle que le contexte économique n’est pas favorable à de telles négociations.
L’ensemble des corps de métiers liés à la compagnie australienne est concerné par la menace de grève, qui pourrait ainsi mobiliser plusieurs milliers d’employés. Le syndicat exige notamment une augmentation des salaires à hauteur de 4%, dont le rapport avec «la sécurité des passagers» soulignée par les responsables syndicaux demeure assez flou.
Qantas a indiqué que les exigences du TWU visaient à attirer l’attention des médias – objectif visiblement atteint – tout en limitant la marge de manœuvre de la compagnie, selon un porte-parole de Qantas. La compagnie australienne a également rappelé que le prix du carburant et les crises liées aux catastrophes naturelles au Japon, en Nouvelle-Zélande et en Australie, ne constituaient pas un contexte favorable à la négociation. Les responsables de Qantas ont d’ailleurs indiqué qu’aucune discussion n’avait été entreprise avec le syndicat, et que les négociations ne seront pas entamées avant le mois de juillet.
Qantas a indiqué que les exigences du TWU visaient à attirer l’attention des médias – objectif visiblement atteint – tout en limitant la marge de manœuvre de la compagnie, selon un porte-parole de Qantas. La compagnie australienne a également rappelé que le prix du carburant et les crises liées aux catastrophes naturelles au Japon, en Nouvelle-Zélande et en Australie, ne constituaient pas un contexte favorable à la négociation. Les responsables de Qantas ont d’ailleurs indiqué qu’aucune discussion n’avait été entreprise avec le syndicat, et que les négociations ne seront pas entamées avant le mois de juillet.
