Après le Monde et la Tribune, qui affirmaient que de nouveaux droits de trafic auraient été accordés lors de la vente des rafales au Qatar, les faits se précisent et semblent confirmer que l’attribution de ces droits auraient été aurait bel et bien été accordée par la France dès le début des négociations commerciales.
Contrairement à ce qu'affirme le gouvernement, cet « échange de bons procédés » aurait été décidé dès la reprise des discussions commerciales sur le Rafale entre la France et le Qatar. Deux villes sont concernées par ces nouveaux droits de trafic, Lyon et Nice. En outre, un vol supplémentaire serait accordé à Qatar Airways au départ de Paris.
Il semblerait, selon nos sources, qu’Air France ait été informée il y a plusieurs mois de cette possible ouverture de vols du Qatar. A l’origine, le Qatar souhaitait 6 vols supplémentaires au départ de la France, ce qui lui a été refusé. Officiellement le gouvernement rejette toute association Rafale/droits sur le sujet mais affirme que la discussion était déjà engagée depuis des mois.
Une réunion de travail sur l’attribution concrète des droits de trafic devrait se dérouler à Paris au moment du Salon du Bourget, dès juin prochain. Personne ne doute aujourd’hui que Qatar Airways disposera rapidement de cette ouverture du ciel français. Emirates avait déjà obtenu des droits de trafic à Lyon dans des conditions similaires (Airbus contre droits), avec les mêmes démentis.
Il semblerait, selon nos sources, qu’Air France ait été informée il y a plusieurs mois de cette possible ouverture de vols du Qatar. A l’origine, le Qatar souhaitait 6 vols supplémentaires au départ de la France, ce qui lui a été refusé. Officiellement le gouvernement rejette toute association Rafale/droits sur le sujet mais affirme que la discussion était déjà engagée depuis des mois.
Une réunion de travail sur l’attribution concrète des droits de trafic devrait se dérouler à Paris au moment du Salon du Bourget, dès juin prochain. Personne ne doute aujourd’hui que Qatar Airways disposera rapidement de cette ouverture du ciel français. Emirates avait déjà obtenu des droits de trafic à Lyon dans des conditions similaires (Airbus contre droits), avec les mêmes démentis.
