C’est finalement un peu plus tard que prévu que Ryanair proposera son offre dédiée aux voyageurs d’affaires. Elle devrait être commercialisée dès la fin août prochain sur un certain nombre d’escales dont la liste n’a pas été encore précisée. De fait, l’offre ne pourra concerner que les vols de point à point sur des aéroports principaux. A ce jour, la compagnie irlandaise discute toujours avec ADP sur la possibilité d’intégrer Charles de Gaulle ou Roissy, deux aéroports jugés très (trop ?) chers par Ryanair.
Outre la flexibilité, l’offre intégrera le choix du siège ainsi que l’embarquement et le débarquement prioritaire. Un système claqué sur celui déjà proposé par EasyJet. Officiellement, la compagnie veut monter en puissance en 5 ans. Mais selon la presse irlandaise, Michael O’Leary souhaite aller plus vite. En développant Milan ou Rome, entre autres, il veut devenir incontournable sur le « low cost corporate business », un marché qui pourrait représenter 30% de son chiffre d’affaires d’ici 2020.
Pour Lesley Kane, en charge des ventes aux entreprises, l’offre business travel de Ryanair débute fort avec un grand nombre d’aéroport principaux comme Cologne, Lisbonne, Athènes ou Madrid. Et de poursuivre «Nous allons permettre aux voyageurs d’affaires de gérer leurs déplacements aux meilleurs coûts possibles avec la meilleure offre en matière de destinations». Ryanair n’a pas caché son ambition de grignoter dès 2014/2015 des parts de marché à Easyjet avec des tarifs annoncés qui pourraient être inférieurs de 25 à 40 % de ceux de la compagnie orange.
Pour Lesley Kane, en charge des ventes aux entreprises, l’offre business travel de Ryanair débute fort avec un grand nombre d’aéroport principaux comme Cologne, Lisbonne, Athènes ou Madrid. Et de poursuivre «Nous allons permettre aux voyageurs d’affaires de gérer leurs déplacements aux meilleurs coûts possibles avec la meilleure offre en matière de destinations». Ryanair n’a pas caché son ambition de grignoter dès 2014/2015 des parts de marché à Easyjet avec des tarifs annoncés qui pourraient être inférieurs de 25 à 40 % de ceux de la compagnie orange.
