Selon la SNCF qui ne détaille pas précisément ses calculs, le coût de la grève s’élèverait à environ 20 millions d’euros par jour. Les 120 millions de pertes enregistrées depuis le début du conflit vont donc peser sur les comptes de la compagnie ferroviaire. Selon RTL, toutes les 36 heures c’est un TGV duplex neuf qui s’envole en fumée.
Au-delà du chiffrage, ce sont les nouvelles modalités de transport trouvées par les clients qui inquiètent la compagnie de chemin de fer. Déjà en île de France, la voiture que l’on avait abandonnée il y a deux ans retrouve des couleurs. La piètre qualité des transports en commun explique sans doute le retour aux quatre roues.
Idem pour le co-voiturage qui pendant la grève explose. Enfin, même les entreprises avouent que les solutions de covoiturage internes mises en place depuis le début de la grève SNCF donnent d’excellents résultats : les salariés découvrent ainsi qu’il y a autour d’eux d’autres voyageurs qui se rendent quotidiennement ou ponctuellement au même endroit qu’eux, ce quipourrait leur donner des idées de partage économiques sur le long terme.
Enfin, les limites de la cogestion des transports parisiens est évidente. Les interconnexions (ligne A entre autres) annulées renvoient les trains et leurs passagers vers des gares SNCF saturées. Un sujet tabou au Conseil Régional d’ïle de France. Il faudra bien un jour ne plus faire l’autruche et répondre aux attentes des voyageurs.
Idem pour le co-voiturage qui pendant la grève explose. Enfin, même les entreprises avouent que les solutions de covoiturage internes mises en place depuis le début de la grève SNCF donnent d’excellents résultats : les salariés découvrent ainsi qu’il y a autour d’eux d’autres voyageurs qui se rendent quotidiennement ou ponctuellement au même endroit qu’eux, ce quipourrait leur donner des idées de partage économiques sur le long terme.
Enfin, les limites de la cogestion des transports parisiens est évidente. Les interconnexions (ligne A entre autres) annulées renvoient les trains et leurs passagers vers des gares SNCF saturées. Un sujet tabou au Conseil Régional d’ïle de France. Il faudra bien un jour ne plus faire l’autruche et répondre aux attentes des voyageurs.
