Selon les syndicats CGT, UNSA, Sud Rail et la CFDT, la grève du 3 février prochain doit démontrer le "ras de bol" des cheminots en matière de dialogue social. Le mouvement qui débutera le 2 février à 20 heures se terminera le 4 février à 8 heures.
Contestant les coupes sombres de la direction dans le budget 2010, les syndicats demandent aux salariés de soutenir massivement le mouvement en cessant le travail pendant 24 heures.
Parmi les revendications, les organisations exigent l’arrêt des suppressions d’emploi : 5400 départs prévus pour 1800 embauches annoncées. Concrètement, et en dehors des salariés requis pour la mise en place d’un service minimum, les syndicats estiment que cette grève, qui s’annonce dure, pourrait perturber entre 40 et 60 % du trafic ferroviaire français.
La SNCF devrait publier dès le 2 février une estimation des trains en circulation pendant la grève.
Parmi les revendications, les organisations exigent l’arrêt des suppressions d’emploi : 5400 départs prévus pour 1800 embauches annoncées. Concrètement, et en dehors des salariés requis pour la mise en place d’un service minimum, les syndicats estiment que cette grève, qui s’annonce dure, pourrait perturber entre 40 et 60 % du trafic ferroviaire français.
La SNCF devrait publier dès le 2 février une estimation des trains en circulation pendant la grève.
