La TSA a décidé de renforcer les contrôles des passagers en provenance de France et de Belgique, deux pays visés par les attentats terroristes de l'Etat Islamique. Pour l'instant, seules les demandes d'ESTA sont concernés et feront, éventuellement, l'objet d'une réponse sous 24 heures.
Les USA ont annoncé le 30 novembre 2015 le durcissement des règles concernant les ressortissants des 38 pays bénéficiant d'exemptions de visas. D'ici quelques jours, des vérifications plus poussées seront faites aux postes d'immigration dans les aéroports. Il serait même prévu de suspendre l'accès aux machines en charge de vérifier automatiquement les documents à tous les pays suspectés d'hébergés des terroristes ou "en provenance de pays connus pour ses sympathies avec des mouvements islamistes".
Une conséquence directe du lobbying mené par certains sénateurs républicains qui qualifient la France de "porte d'entrée du terrorisme", en raison d'une forte population d'origine maghrébine. Ils demandent désormais le rétablissement de la demande obligatoire de visas avant le départ. Le gouvernement américain aimerait également qu'un échange de profils des voyageurs d'affaires soit mis en place pour leur faciliter l'entrée sur le sol US. Plus complet que le PNR européen, il pourrait être décidé avant la fin juin 2016. En outre, les autorités américaines vont travailler avec leurs homologues des pays concernés pour recueillir des données biométriques comme les empreintes digitales des voyageurs.
Une conséquence directe du lobbying mené par certains sénateurs républicains qui qualifient la France de "porte d'entrée du terrorisme", en raison d'une forte population d'origine maghrébine. Ils demandent désormais le rétablissement de la demande obligatoire de visas avant le départ. Le gouvernement américain aimerait également qu'un échange de profils des voyageurs d'affaires soit mis en place pour leur faciliter l'entrée sur le sol US. Plus complet que le PNR européen, il pourrait être décidé avant la fin juin 2016. En outre, les autorités américaines vont travailler avec leurs homologues des pays concernés pour recueillir des données biométriques comme les empreintes digitales des voyageurs.
