Bruxelles dispose d’un nouveau service de covoiturage. Néanmoins, Taxi2Share devrait rencontrer moins de problèmes administratifs et judiciaires qu'UberPop. La société propose à ses clients de partager un taxi entre la capitale et ses aéroports, et non la voiture d'un particulier.
Les voyageurs d’affaires, désireux de faire des économies, peuvent dorénavant partager un taxi avec des inconnus lors de leurs trajets entre Bruxelles et les aéroports Brussels Airport ou Charleroi. Les véhicules (Mercedes, BMW ou Jaguar) sont conduits par des chauffeurs de taxi professionnels. Ils peuvent accueillir jusqu’au 3 personnes (réservation 24 heures à l’avance). La société propose des prix fixes. Ainsi, la course entre la capitale et Brussels Airport est à partir de 14 €. La place pour un trajet vers Charleroi est à 33,50 €. Taxi2Share a prévu de proposer son service de taxi partagé dans toute la ville à partir du 20 juillet.
La ministre bruxelloise des Transports, Brigitte Grouwels, ainsi que la Direction bruxelloise des taxis se penchent de près sur ce dossier. Le cabinet de la ministre a indiqué à Belga «Le dossier de Taxi2share est intéressant. Mais nous devons l’étudier afin de vérifier si la réglementation bruxelloise en matière de taxis est respectée». Il a également précisé «Tout comme nous l’avons signalé à Uber et Djump, les chauffeurs doivent disposer d’un certificat et les passagers doivent être assurés de manière significative. Le rôle de la ministre est de protéger les clients et d’assurer au mieux la qualité des services de transports».
La ministre bruxelloise des Transports, Brigitte Grouwels, ainsi que la Direction bruxelloise des taxis se penchent de près sur ce dossier. Le cabinet de la ministre a indiqué à Belga «Le dossier de Taxi2share est intéressant. Mais nous devons l’étudier afin de vérifier si la réglementation bruxelloise en matière de taxis est respectée». Il a également précisé «Tout comme nous l’avons signalé à Uber et Djump, les chauffeurs doivent disposer d’un certificat et les passagers doivent être assurés de manière significative. Le rôle de la ministre est de protéger les clients et d’assurer au mieux la qualité des services de transports».
