Voilà quelqu’un qui pourra purger sa peine tout en effectuant ses déplacements professionnels, si besoin en était… Fahmi Fadzil s’était attaqué sur la Toile à la "e-réputation" de l’entreprise Blu Inc Media, dont il dénonçait la politique de ressources humaines, sur des éléments qui se sont avérés faux. «Tu seras puni par où tu as péché» : le précepte s’applique tout aussi facilement à l’heure des nouvelles technologies, et l’activiste malaisien a écopé d’une punition Twitter : poster 100 fois ses excuses sur le réseau en l’espace de trois jours. "J'ai diffamé Blu Inc Media et Female Magazine. Mes tweets sur leur politique de ressources humaines étaient faux. Je retire ces mots et m'excuse" a donc répété inlassablement le condamné numérique, qui ne semble pas dégoûté pour autant des réseaux sociaux.