Le groupe SNCF a publié le 25 avril 2013 ses résultats pour le 1er trimestre 2013. Il affiche un chiffre d’affaires de 8,2 milliards d’euros, soit une hausse de +0,9 % (à périmètre constant) par rapport à la même période l’année dernière. Mais la partie voyage recule de 0,8 %
La branche SNCF Voyages présente un chiffre d’affaires en recul de -0,8 % par rapport à fin mars 2012 et de -0,7 % à périmètre et change constants pour atteindre 1 724 M €. Ce repli est dû à la baisse des produits du trafic (-0,8%) dont -2,0 % sur TGV France. Par contre, l’activité Europe a connu une hausse des produits du trafic est de +3,2 %, due essentiellement à la progression des activités vers la Suisse et l’Allemagne.
La croissance de la compagnie ferroviaire a donc été portée par SNCF Infra (4,3 %) et SNCF Proximité (+0,8 %). La SNCF explique «L’environnement économique reste très difficile, sans que l’on puisse envisager une sortie de crise en particulier sur la zone de l’Europe de l’Ouest. La hausse du PIB en France est quasi nulle et les prévisions de consommation des ménages revues à la baisse alors que la récession du transport de marchandises se poursuit. Dans ce contexte, le Groupe met en œuvre des moyens d’adaptation pour faire face à la dégradation prévue de l’activité. Cela passera par des mesures pour dynamiser les recettes et réduire les charges et les investissements, sans remettre en question les efforts nécessaires pour assurer la qualité de service et la politique d’acquisition et de rénovation de matériels roulants et des gares en Ile-de-France notamment».
La croissance de la compagnie ferroviaire a donc été portée par SNCF Infra (4,3 %) et SNCF Proximité (+0,8 %). La SNCF explique «L’environnement économique reste très difficile, sans que l’on puisse envisager une sortie de crise en particulier sur la zone de l’Europe de l’Ouest. La hausse du PIB en France est quasi nulle et les prévisions de consommation des ménages revues à la baisse alors que la récession du transport de marchandises se poursuit. Dans ce contexte, le Groupe met en œuvre des moyens d’adaptation pour faire face à la dégradation prévue de l’activité. Cela passera par des mesures pour dynamiser les recettes et réduire les charges et les investissements, sans remettre en question les efforts nécessaires pour assurer la qualité de service et la politique d’acquisition et de rénovation de matériels roulants et des gares en Ile-de-France notamment».
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