Faudra-t-il suivre l’initiative suédoise pour optimiser ses dépenses ? On serait tenté de le croire en écoutant les responsables d’Epicenter, une société de gestion de bureaux, implantée à Stockholm, qui veut implanter une micropuce dans la main des salariés. L’objectif est simple, permettre aux salariés d’accéder aux locaux d’un simple revers de main. Mais au-delà, le système pourrait permettre bien d’autres choses.
Imaginez une micropuce qui pourrait servir de carte d’embarquement, de moyen de paiement et surtout d’outil de contrôle sécuritaire au moment de passer les frontières. Voilà pour le cahier des charges de ce qui pourrait vite devenir une solution capable de faciliter les déplacements professionnels.
A ce jour, selon la BBC, 400 volontaires ont accepté de tester le produit. Seule étape difficile, l’implantation de la puce sous la peau, «pas plus douloureux qu’une piqûre». Pour l’heure, si le système fonctionne parfaitement avec les accès aux locaux d’Epicenter, son développement a déjà commencé aux USA et en Suède où l’on envisage une mise à disposition sur le marché d’ici à la fin 2017. Seul handicap, d’ordre moral : peut-on accepter un tel procédé ? Pour les testeurs, la question ne se pose pas, «l’apport de cette technologie simplifie tellement la vie quotidienne que ce serait stupide de s’en passer».
A ce jour, selon la BBC, 400 volontaires ont accepté de tester le produit. Seule étape difficile, l’implantation de la puce sous la peau, «pas plus douloureux qu’une piqûre». Pour l’heure, si le système fonctionne parfaitement avec les accès aux locaux d’Epicenter, son développement a déjà commencé aux USA et en Suède où l’on envisage une mise à disposition sur le marché d’ici à la fin 2017. Seul handicap, d’ordre moral : peut-on accepter un tel procédé ? Pour les testeurs, la question ne se pose pas, «l’apport de cette technologie simplifie tellement la vie quotidienne que ce serait stupide de s’en passer».
