Le sujet est plus complexe que ne le pensent les acheteurs voyage, mais rarement la mise en place d'une politique voyages réfléchie n'aura demandé autant de préparation. Les raisons de ces difficultés ? La démultiplication de l'accès aux technologies de réservation et la volonté farouche du voyageur de s'affranchir des contraintes. Quand la technologie bouscule les process, il faut analyser les besoins plus finement que jamais.
Dans son nouveau livre blanc, BCD Travel met le doigt sur une approche novatrice qui se développe rapidement : la mesure de l’impact qu’une relation de confiance avec le voyageur d’affaires peut avoir sur le respect de la politique de voyage.
Il est vrai que l'on ne saurait imposer sans expliquer et s'appuyer sur celles et ceux qui auront à appliquer les règles édictées par l'entreprise. Pour Charuta Fadnis, Senior Director, Research & Intelligence de la TMC, on assiste à "l'apparition d' un voyageur d’affaires d’un nouveau type qui est profondément convaincu qu’on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. Ce voyageur réfléchit comme un consommateur et entend faire des choix en toute indépendance". Mais liberté ne rime pas toujours avec budgets. Intégrer le voyageur à la construction du process devient de fait une obligation, même si les limites du système sont perceptibles.
Dans cette étude, BCD Travel précise que "D’autres facteurs externes façonnent le voyageur d’affaires d’aujourd’hui. Les fournisseurs, tels que les hôtels, les compagnies aériennes et les sites de réservation, ne cessent de courtiser les voyageurs d’affaires avec leurs offres et leurs promotions. Résultat : la tentation de déroger à la politique de voyage n’est jamais loin. La sécurité étant au cœur des priorités de tous les travel managers, il est plus essentiel que jamais d'y veiller, de réussir à engager et convaincre les collaborateurs de mieux respecter la politique de voyage". Vaste sujet.
Ce nouvel ouvrage, intitulé "Get engaged: Empowering travelers to make smart buying choices" démontre, étape par étape, comment une entreprise peut favoriser l’engagement des voyageurs en mettant en place un plan solide, une communication adaptée et les bonnes personnes derrière.
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Il est vrai que l'on ne saurait imposer sans expliquer et s'appuyer sur celles et ceux qui auront à appliquer les règles édictées par l'entreprise. Pour Charuta Fadnis, Senior Director, Research & Intelligence de la TMC, on assiste à "l'apparition d' un voyageur d’affaires d’un nouveau type qui est profondément convaincu qu’on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. Ce voyageur réfléchit comme un consommateur et entend faire des choix en toute indépendance". Mais liberté ne rime pas toujours avec budgets. Intégrer le voyageur à la construction du process devient de fait une obligation, même si les limites du système sont perceptibles.
Dans cette étude, BCD Travel précise que "D’autres facteurs externes façonnent le voyageur d’affaires d’aujourd’hui. Les fournisseurs, tels que les hôtels, les compagnies aériennes et les sites de réservation, ne cessent de courtiser les voyageurs d’affaires avec leurs offres et leurs promotions. Résultat : la tentation de déroger à la politique de voyage n’est jamais loin. La sécurité étant au cœur des priorités de tous les travel managers, il est plus essentiel que jamais d'y veiller, de réussir à engager et convaincre les collaborateurs de mieux respecter la politique de voyage". Vaste sujet.
Ce nouvel ouvrage, intitulé "Get engaged: Empowering travelers to make smart buying choices" démontre, étape par étape, comment une entreprise peut favoriser l’engagement des voyageurs en mettant en place un plan solide, une communication adaptée et les bonnes personnes derrière.
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