Faute de négociations abouties, les pilotes de Brussels Airlines sont formels : il y a aura deux nouveaux jours de grève en juin si aucun accord n’est trouvé. Or malgré les 15 heures de discussion, ces derniers jours, aucun texte n’a été signé même si quelques points s’éclaircissent. Pour les pilotes, les demandes sur l’équilibre […]
Faute de négociations abouties, les pilotes de Brussels Airlines sont formels : il y a aura deux nouveaux jours de grève en juin si aucun accord n’est trouvé. Or malgré les 15 heures de discussion, ces derniers jours, aucun texte n'a été signé même si quelques points s’éclaircissent.
Pour les pilotes, les demandes sur l’équilibre entre vie privée et travail restent prioritaires et les demandes d'aménagement des conditions de travail sont toujours l'un des points d'achoppement. A la tête de la compagnie, on se dit déçu même si, selon Anita Van Hoof du Setca, "La direction n'a fait aucun effort pour sortir du conflit et avancer dans la gestion de la crise". Etienne Davignon, le président du conseil d'administration de la compagnie reste optimiste : "Nous avançons et le dialogue n’est pas rompu".
Pour les pilotes, les demandes sur l’équilibre entre vie privée et travail restent prioritaires et les demandes d'aménagement des conditions de travail sont toujours l'un des points d'achoppement. A la tête de la compagnie, on se dit déçu même si, selon Anita Van Hoof du Setca, "La direction n'a fait aucun effort pour sortir du conflit et avancer dans la gestion de la crise". Etienne Davignon, le président du conseil d'administration de la compagnie reste optimiste : "Nous avançons et le dialogue n’est pas rompu".