Des tags en arabe ont été découverts sur des avions d'EasyJet et Vueling sur les aéroports de Lyon et de Roissy au cours des deux dernières semaines. Les autorités aéroportuaires et la police assurent qu'ils ne sont pas liés aux attentats de Paris.
"Allah Akbar", c'est le graffiti découvert sur la trappe à carburant d'un avion EasyJet stationné à Roissy le 24 novembre dernier. Il a été effacé avant que les passagers ne montent à bord. Les autorités ont confirmé qu'une inscription en arabe avait également été remarquée, deux jours plus tôt, sur un appareil en provenance de Marrakech qui avait atterri à Lyon. Les enquêteurs ont précisé que rien n'indique que les mots avaient été écrits sur la plate-forme française. La compagnie britannique assure que "Ce n'est rien de plus que des graffitis" . Elle ajoute: "Notre équipe de sécurité est habituée à évaluer toute menace potentielle et ces graffitis n'ont pas été considérés comme un problème de sécurité tant par nous que par les autorités".
Vueling a aussi découvert des inscriptions en arabe sur un appareil à Lyon. Par mesure de sécurité, il a été décidé de débarquer les passagers et de contrôler l'avion.
Les enquêteurs estiment que ces tags ne sont "pas un phénomène lié aux attentats" de Paris du 13 novembre. "Cela fait plusieurs mois que de temps en temps ça arrive, y compris sur d'autres compagnies", a expliqué une source proche du dossier.
Vueling a aussi découvert des inscriptions en arabe sur un appareil à Lyon. Par mesure de sécurité, il a été décidé de débarquer les passagers et de contrôler l'avion.
Les enquêteurs estiment que ces tags ne sont "pas un phénomène lié aux attentats" de Paris du 13 novembre. "Cela fait plusieurs mois que de temps en temps ça arrive, y compris sur d'autres compagnies", a expliqué une source proche du dossier.
