L'aéroport de Genève et celui de Lyon sont distants de seulement 145km. D'ailleurs, les voyageurs d'affaires frontaliers ont parfois leurs habitudes dans les deux plateformes. Les deux pistes voisines pourraient bientôt avoir un avenir commun: l'entreprise suisse, membre d'un consortium d'investisseurs, a prévu de répondre à l'appel d'offres qui sera lancé pour la privatisation de l'aéroport français.
Genève Aéroport va se joindre aux Fonds d’investissement CUBE (affilié au groupe Natixis, banque internationale du Groupe BPCE :Banque Populaire – Caisse d’épargne) pour répondre à l’appel d’offres attendu prochainement en vue de l’ouverture du capital des aéroports de Lyon (ADL). Comme pour l'aéroport de Toulouse, le Gouvernement a, en effet, prévu de se séparer d'au moins 49,9% de la plate-forme lyonnaise.
"Cette prise de participation potentielle de Genève Aéroport dans le capital de ADL s’inscrirait dans le contexte amical des bonnes relations historiquement entretenues par ces deux entités, que leur proximité géographique amène régulièrement à collaborer sur des opérations ponctuelles. La participation de Genève Aéroport au capital de ADL pourrait revêtir des perspectives intéressantes pour les deux parties. Elle donnerait notamment une cohérence à l’aménagement du territoire auquel participent ces deux plates-formes, moteurs de cette vaste région transfrontalière en voie de métropolisation". Elle ajoute que ce projet a "d’ores et déjà reçu l’assentiment du canton de Genève, par la voix du Conseil d’Etan. Des contacts avec les collectivités locales françaises et le milieu industriel rhônes-alpin seront poursuivis afin d’inscrire le projet industriel dans une vision de cohérence territoriale élargie".
"Cette prise de participation potentielle de Genève Aéroport dans le capital de ADL s’inscrirait dans le contexte amical des bonnes relations historiquement entretenues par ces deux entités, que leur proximité géographique amène régulièrement à collaborer sur des opérations ponctuelles. La participation de Genève Aéroport au capital de ADL pourrait revêtir des perspectives intéressantes pour les deux parties. Elle donnerait notamment une cohérence à l’aménagement du territoire auquel participent ces deux plates-formes, moteurs de cette vaste région transfrontalière en voie de métropolisation". Elle ajoute que ce projet a "d’ores et déjà reçu l’assentiment du canton de Genève, par la voix du Conseil d’Etan. Des contacts avec les collectivités locales françaises et le milieu industriel rhônes-alpin seront poursuivis afin d’inscrire le projet industriel dans une vision de cohérence territoriale élargie".
