Le Président ivoirien Alassane Ouattara et le Président d'Air France Alexandre de Juniac se sont rencontrés ce mercredi 22 février pour finaliser l'accord de relance de la compagnie nationale ivoirienne. Lancement prévu fin avril à Abidjan.
Selon le journal abidjan.net, Air France prend 35 % du capital de la nouvelle compagnie dans laquelle l'état est majoritiare avec 51 % des parts, les 15 % restants étant propriété du secteur privé. L'Etat ivoirien dote la compagnie d'une subvention de 10,9 milliards de FCFA pour atteindre la rentabilité. Pour le PDG d’Air France, l’entrée de sa compagnie dans le capital de la future Air Côte d’Ivoire se justifie par le fait que "l’Etat ivoirien fait confiance en Air France" a t-il déclaré en sortant de l'audience avec le Président ivoirien. " On va essayer d’être à la hauteur des espérances parce que nous, nous avons des attentes très très fortes. Parce que nous pensons qu’Abidjan peut être un hub important pour la région, et donc, pour contribuer au trafic d’Air France".
La compagnie débutera ses vols avec deux A 319 en leasing, un troisième appareil étant attendu pour 2013. La compagnie commencera fin avril par des liaisons régionales, là où son actionnaire Air France n'est pas impliqué. Mais en concurrence frontale avec les compagnies voisines, notamment Senegal Airlines ou Air Mali, qui n'ont pas attendu la relance de la nouvelle Air Ivoire pour occuper le terrain. Sans compter la présence dans le secteur de Brussels Airlines, Emirates ou Kenya Airways, qui ne cachent pas leurs ambitions sur l'Afrique de l'Ouest.
La compagnie débutera ses vols avec deux A 319 en leasing, un troisième appareil étant attendu pour 2013. La compagnie commencera fin avril par des liaisons régionales, là où son actionnaire Air France n'est pas impliqué. Mais en concurrence frontale avec les compagnies voisines, notamment Senegal Airlines ou Air Mali, qui n'ont pas attendu la relance de la nouvelle Air Ivoire pour occuper le terrain. Sans compter la présence dans le secteur de Brussels Airlines, Emirates ou Kenya Airways, qui ne cachent pas leurs ambitions sur l'Afrique de l'Ouest.
