Sept syndicats (la CGT, FO, Solidaires et FSU, ainsi que les organisations étudiantes UNEF, UNL et FIDL) ont lancé un appel à la grève pour manifester contre la loi El Khomri, le 31 mars 2016. Le SNPNC-FO, organisation qui représente environ 30% des voix des PNC, rejoint le mouvement et invite les hôtesses et stewards à stopper le travail ce jour-là pour demander le retrait immédiat du texte.
Le SNPNC-FO a décidé d’appeler à une grève nationale, le jeudi 31 mars prochain. Le syndicat national qui représente les hôtesses et stewards des compagnies aériennes françaises ou ayant une base en France, souhaite le retrait immédiat du Projet de loi El Kromri.
L'organisation dénonce "les aménagements cosmétiques apportés au projet de loi initial et l’allégation selon laquelle le projet serait devenu équilibré pour les entreprises et les salariés". Il estime que "l’inversion des normes se traduisant par la primauté accordée à la négociation d’accords d’entreprise (...) va instituer un véritable dumping social entre compagnies aériennes, et dans tous les secteurs de notre Économie" et condamne "la mise à sac du Code du travail, par exemple en matière de temps de travail et l’établissement au niveau de l’entreprise notamment de la modulation du temps de travail, du lissage et du taux de majoration des heures supplémentaires, et leurs conséquences sur l’emploi". Le SNPNC-FO déplore également "l’affaiblissement du champ des accords de branche qui garantissaient l’existence pour les salariés de droits plancher".
Il n'est pas possible encore de savoir si le mouvement sera suivi et ses répercussions sur l'activité des compagnies aériennes.
L'organisation dénonce "les aménagements cosmétiques apportés au projet de loi initial et l’allégation selon laquelle le projet serait devenu équilibré pour les entreprises et les salariés". Il estime que "l’inversion des normes se traduisant par la primauté accordée à la négociation d’accords d’entreprise (...) va instituer un véritable dumping social entre compagnies aériennes, et dans tous les secteurs de notre Économie" et condamne "la mise à sac du Code du travail, par exemple en matière de temps de travail et l’établissement au niveau de l’entreprise notamment de la modulation du temps de travail, du lissage et du taux de majoration des heures supplémentaires, et leurs conséquences sur l’emploi". Le SNPNC-FO déplore également "l’affaiblissement du champ des accords de branche qui garantissaient l’existence pour les salariés de droits plancher".
Il n'est pas possible encore de savoir si le mouvement sera suivi et ses répercussions sur l'activité des compagnies aériennes.
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