La Silicon Valley n'est pas la seule à s'inquiéter après la mise en place du décret anti-immigration de Donald Trump. ACTE (Association of Corporate Travel Executives) indique que 20% des 260 membres sondés ont rencontré des difficultés depuis la signature du texte. Près de 4 personnes sur 10 estiment également qu'il peut être néfaste pour le Business Travel.
Le décret qui interdit l'entrée aux USA aux personnes originaires de 7 pays majoritairement musulmans n'a rien changé pour 46% des entreprises sondées par ACTE, en revanche 20% d'entre elles affirment avoir dû faire face à des difficultés. Depuis sa promulgation il y a moins d'une semaine, les Travel Managers disent avoir dû gérer la crainte du harcèlement des voyageurs (6%), la peur des représailles sur les collaborateurs américains au Moyen-Orient (5%), les incertitudes sur les cartes vertes (4%), l'accès limité pour le recrutement (2%) ou une combinaison de tous ces facteurs.
En outre, 39% estiment que ce texte peut conduire à une réduction des voyages d'affaires.
Pas moins de 22% des 260 sondés estiment que le décret Trump pourrait créer ou accentuer les menaces sur les voyageurs américains à l'étranger. 23% craignent des complications dans l'organisation des déplacements pour plusieurs collaborateurs tandis que 11% ont peur de voir des contrats annulés entre les entreprises américaines et du Moyen-Orient. L'incertitude est ressentie par beaucoup d'organisateurs de voyage : 44% des membres de l'organisation interrogés disent ne pas savoir les conséquences que ce texte aura sur leurs activités.
En outre, 39% estiment que ce texte peut conduire à une réduction des voyages d'affaires.
Pas moins de 22% des 260 sondés estiment que le décret Trump pourrait créer ou accentuer les menaces sur les voyageurs américains à l'étranger. 23% craignent des complications dans l'organisation des déplacements pour plusieurs collaborateurs tandis que 11% ont peur de voir des contrats annulés entre les entreprises américaines et du Moyen-Orient. L'incertitude est ressentie par beaucoup d'organisateurs de voyage : 44% des membres de l'organisation interrogés disent ne pas savoir les conséquences que ce texte aura sur leurs activités.
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