Alors que la SNCB a présenté son Plan pluriannuel d'investissement (PPI) 2016-2020, le 22 novembre 2016, la Wallonie émet des doutes sur le plan transport 2017. Elle lui reproche en particulier l'absence de la relance du Thalys wallon ou encore d'un train rapide entre Tournai et Liège.
Selon l'Echo, le gouvernement de la région wallonne n'approuve pas le plan transport de la SNCB. Il aurait fait connaître sa position au ministre fédéral de la Mobilité François Bellot par le biais d'un courrier officiel.
Le ministre-président wallon, Paul Magnette, le vice-président Maxime Prevot ainsi que par le ministre wallon de la Mobilité et des Transports, Carlo Di Antonio qui ont cosigné le document, écrivent "De ces propositions, il ressort que les attentes formulées par le gouvernement wallon en sa séance du 12 mai 2016 qui vous furent transmises le 23 mai 2016 n’ont été rencontrées que marginalement".
S'ils soulignent que le projet présente une légère augmentation de l'offre en Wallonie, ils déplorent l'absence de remise en circulation du Thalys wallon, la mise en place d'un train rapide entre Tournai et Liège ou encore l'absence d'augmentation de fréquence sur l'axe 3 entre Namur et Arlon.
Ils estiment également que la part du budget d'investissement public d'un milliard, prévue pour la Wallonie, n'est pas suffisant pour achever le réseau RER Wallon dans des "délais raisonnables".
Le ministre-président wallon, Paul Magnette, le vice-président Maxime Prevot ainsi que par le ministre wallon de la Mobilité et des Transports, Carlo Di Antonio qui ont cosigné le document, écrivent "De ces propositions, il ressort que les attentes formulées par le gouvernement wallon en sa séance du 12 mai 2016 qui vous furent transmises le 23 mai 2016 n’ont été rencontrées que marginalement".
S'ils soulignent que le projet présente une légère augmentation de l'offre en Wallonie, ils déplorent l'absence de remise en circulation du Thalys wallon, la mise en place d'un train rapide entre Tournai et Liège ou encore l'absence d'augmentation de fréquence sur l'axe 3 entre Namur et Arlon.
Ils estiment également que la part du budget d'investissement public d'un milliard, prévue pour la Wallonie, n'est pas suffisant pour achever le réseau RER Wallon dans des "délais raisonnables".
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