Le baromètre aérien TendanCiel, publié par la DGAC le 27 novembre 2015, montre que le trafic aérien français se tient bien. Le nombre de voyageurs transportés a grimpé en octobre de 4,9% à par rapport à la même époque l'année dernière.
Le secteur domestique français se montre stable avec une croissance de +0,9% en octobre. En outre, le trafic demeure favorablement orienté sur l’ensemble de ses segments à l’exception du marché des lignes intérieures en Outre-Mer (-1,0%). Toutefois, il reste en cumul annuel, le plus dynamique (+2,4% contre 1,4% pour l’ensemble du trafic national). Par contre, les liaisons Métropole/Outre-Mer connaissent la meilleure progression du mois (+2,0%) mais constituent en régime annuel, le seul marché en recul (-0,6%).
Le trafic international s’est fortement intensifié:+5,9%. TendanCiel souligne que "Pour la première fois, il a franchi dès octobre le cap des 100 millions de voyageurs". L’Union européenne (+9,2%) et l’Amérique (+7,6%) demeurent les régions les plus actives "avec des nuances variables selon les pays". Une nouvelle fois, l’Espagne (+15,5%) et le Canada (+10,5%) enregistrent les plus fortes croissances.
La zone Asie-Pacifique (+2,6%) est présente des performances très partagées entre les zones d’expansion comme la Corée du Sud (+12,5%), la Chine (+11,7%) et l’Inde (+10,7%) et d'autres secteurs qui décrochent : Émirats Arabes Unis (-2,4%) et surtout le Japon (-6,5%). L’Afrique (-1,5%) demeure la terre de tous les contrastes (Sénégal +23,4%, Tunisie -23,6%) et le seul continent dont le marché se contracte en rythme annuel (-1,6%).
Trafic des aéroports français
La hausse du trafic s’est vérifiée sur l’ensemble des dix premiers aéroports français dont une majorité a vu sa fréquentation progresser de 5% ou plus. À Paris, Orly (+5,6%) profite davantage de la croissance que CDG (+3,4%) en raison d’une forte activité à l’international (+11,2%). En région, Bordeaux, Nantes et Beauvais sont les plates-formes dont l’essor a été le plus significatif notamment grâce à de belles performances à l’international (+23,7% pour Bordeaux, +14,0% à Nantes), "poursuivant une croissance remarquable".
Moins de retard
Pour le troisième mois consécutif, les voyageurs d'affaires ont été moins affectés par les retards et autres incidents. La proportion de vols retardés a régressé très sensiblement (-2,2 points) par rapport à octobre 2014 et s’établit à 19,1%. "Sur douze mois glissants, cet indicateur atteint même sa valeur minimale (22,0%) depuis sa création en janvier 2015", ajoute le rapport. La durée du retard moyen a également été réduite de près d’une minute et passe ainsi sous la barre des 11 minutes.
Le trafic international s’est fortement intensifié:+5,9%. TendanCiel souligne que "Pour la première fois, il a franchi dès octobre le cap des 100 millions de voyageurs". L’Union européenne (+9,2%) et l’Amérique (+7,6%) demeurent les régions les plus actives "avec des nuances variables selon les pays". Une nouvelle fois, l’Espagne (+15,5%) et le Canada (+10,5%) enregistrent les plus fortes croissances.
La zone Asie-Pacifique (+2,6%) est présente des performances très partagées entre les zones d’expansion comme la Corée du Sud (+12,5%), la Chine (+11,7%) et l’Inde (+10,7%) et d'autres secteurs qui décrochent : Émirats Arabes Unis (-2,4%) et surtout le Japon (-6,5%). L’Afrique (-1,5%) demeure la terre de tous les contrastes (Sénégal +23,4%, Tunisie -23,6%) et le seul continent dont le marché se contracte en rythme annuel (-1,6%).
Trafic des aéroports français
La hausse du trafic s’est vérifiée sur l’ensemble des dix premiers aéroports français dont une majorité a vu sa fréquentation progresser de 5% ou plus. À Paris, Orly (+5,6%) profite davantage de la croissance que CDG (+3,4%) en raison d’une forte activité à l’international (+11,2%). En région, Bordeaux, Nantes et Beauvais sont les plates-formes dont l’essor a été le plus significatif notamment grâce à de belles performances à l’international (+23,7% pour Bordeaux, +14,0% à Nantes), "poursuivant une croissance remarquable".
Moins de retard
Pour le troisième mois consécutif, les voyageurs d'affaires ont été moins affectés par les retards et autres incidents. La proportion de vols retardés a régressé très sensiblement (-2,2 points) par rapport à octobre 2014 et s’établit à 19,1%. "Sur douze mois glissants, cet indicateur atteint même sa valeur minimale (22,0%) depuis sa création en janvier 2015", ajoute le rapport. La durée du retard moyen a également été réduite de près d’une minute et passe ainsi sous la barre des 11 minutes.