Les acteurs du voyage ont dévoilé leur dernière étude très axée écologie et tendances tourisme 2019.
Suite aux dernières actualités concernant le " flygskame" : la " honte de prendre l'avion" venues de Suède, il paraissait naturel de se pencher sur la question de la prise de conscience écologique des voyageurs et de la modification de leur comportement.
Jean-Pierre Mas, Président des Entreprises du Voyage, a dévoilé les derniers chiffres de l'étude menée par BVA et le syndicat national.
Selon l’étude, 82 % des Français se disent préoccupés par la question écologique lorsqu'ils prennent l'avion.
Les voyageurs professionnels, malgré leur faible part dans cette étude, semblent être ceux qui se sentent le plus concernés puisque 47% des personnes se déplaçant pour des voyages d’affaires disent faire attention, par exemple au bilan carbone ou aux alternatives de déplacements possibles comme le train.
Ce qui est surtout pointé du doigts, ce sont les « citybreak » : sauts de puces d’un ou deux jours dans un pays étranger nécessitant deux vols qui ne sont pas à chaque fois indispensables.
A l'issue de cette conférence de presse, Jean-Pierre Mas a énoncé sa proposition à venir aux entreprises aériennes et à l’Etat. « il va falloir se battre, ils ne vont pas être contents », a-t-il prévenu.
Le Président a fortement critiqué la proposition de Barbara Pompili ( Présidente de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire ) de taxer 33 centimes par litre de kérosène : « taxer ne servirait à rien, il faudrait que les compagnies aériennes absorbent le CO2 qu’elles produisent, c’est très ambitieux, voire utopique mais c’est ce vers quoi il faut avancer parce qu’une taxe ne servirait à rien au niveau écologique ».
Pour l’instant Jean-Pierre Mas n’a exprimé ses réflexions qu’au niveau français en précisant son envie de les étendre à l’international.
Au niveau aérien, la France contribue à 3,3 % de la production de CO2 sur la planète.
Jean-Pierre Mas, Président des Entreprises du Voyage, a dévoilé les derniers chiffres de l'étude menée par BVA et le syndicat national.
Selon l’étude, 82 % des Français se disent préoccupés par la question écologique lorsqu'ils prennent l'avion.
Les voyageurs professionnels, malgré leur faible part dans cette étude, semblent être ceux qui se sentent le plus concernés puisque 47% des personnes se déplaçant pour des voyages d’affaires disent faire attention, par exemple au bilan carbone ou aux alternatives de déplacements possibles comme le train.
Ce qui est surtout pointé du doigts, ce sont les « citybreak » : sauts de puces d’un ou deux jours dans un pays étranger nécessitant deux vols qui ne sont pas à chaque fois indispensables.
A l'issue de cette conférence de presse, Jean-Pierre Mas a énoncé sa proposition à venir aux entreprises aériennes et à l’Etat. « il va falloir se battre, ils ne vont pas être contents », a-t-il prévenu.
Le Président a fortement critiqué la proposition de Barbara Pompili ( Présidente de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire ) de taxer 33 centimes par litre de kérosène : « taxer ne servirait à rien, il faudrait que les compagnies aériennes absorbent le CO2 qu’elles produisent, c’est très ambitieux, voire utopique mais c’est ce vers quoi il faut avancer parce qu’une taxe ne servirait à rien au niveau écologique ».
Pour l’instant Jean-Pierre Mas n’a exprimé ses réflexions qu’au niveau français en précisant son envie de les étendre à l’international.
Au niveau aérien, la France contribue à 3,3 % de la production de CO2 sur la planète.