Il n’est jamais très simple d’étudier le marché des frais professionnels des PME PMI en France. Il y a quelques années, Avexia et son observatoire s’était déjà attaqué au sujet avec des résultats plus ou moins justes liés à la complexité du sujet. Aujourd’hui, c’est au tour de Ticket Travel Pro de se lancer dans l’exercice et d’en livrer les résultats.
Analyser le marché des frais professionnels au sein des petites et moyennes entreprises ne peut se faire qu’en utilisant des critères de sélection clairement affichés et dont la nature peut faire varier sensiblement le résultat. L’étude s'est clairement limitée à analyser les 80% de déplacements réalisés en France. Elle intègre les frais de carburant et de restauration associés à la maintenance technique et au suivi commercial des entreprises de taille moyenne.
Selon l’étude, le marché des frais de déplacements en France atteindrait les 30 milliards de dépenses chaque année. Il est vrai que ce chiffre intègre des éléments non pris en compte pour l’analyse du marché du voyage d’affaires qui se borne à analyser l’aérien, le ferroviaire, l’hôtellerie et la location de voitures.
Pour autant, le travail réalisé par Ticket Travel Pro prend en compte la répartition des frais de déplacement en intégrant le coût de la restauration et celui de l’essence. On apprend ainsi que 29 % des dépenses sont consacrées au transport aérien, 27% à l’hôtellerie, 12% à l’essence, 10% à la restauration et au taxi et transports locaux, 7% à la location de voitures et 5 % au train. Ne cherchez pas où se trouve l’erreur dans ces chiffres, nous ne parlons pas des mêmes marchés que ceux du voyage d’affaires.
Pour cette étude, 3 postes tiennent le haut du pavé de la note de frais : l’essence avec 31%, l’hôtel avec 22% et le restaurant avec 18 %. Comme on peut s’y attendre, 70% des entreprises interrogées gèrent les notes de frais sans outils. 41% donnent des avances de frais à leur collaborateur mais 64% ne disposent pas de reporting. Enfin, sans surprise 86% des salariés payent avec leur carte personnelle.
À l’évidence, c’est sur ce dernier point que l’entreprise qui a commandité l’étude souhaite travailler. Si les résultats apportent quelques éclairages nouveaux, le panel retenu, une centaine d’entreprises en France, ne permet pas de tirer des conclusions globales sur les quelque 600 000 entreprises qui voyagent réellement et les 2 millions qui assument des déplacements de proximité. Le marché reste atomisé, difficile à mesurer en raison des différences sensibles au niveau de la taille des entreprises.
Selon l’étude, le marché des frais de déplacements en France atteindrait les 30 milliards de dépenses chaque année. Il est vrai que ce chiffre intègre des éléments non pris en compte pour l’analyse du marché du voyage d’affaires qui se borne à analyser l’aérien, le ferroviaire, l’hôtellerie et la location de voitures.
Pour autant, le travail réalisé par Ticket Travel Pro prend en compte la répartition des frais de déplacement en intégrant le coût de la restauration et celui de l’essence. On apprend ainsi que 29 % des dépenses sont consacrées au transport aérien, 27% à l’hôtellerie, 12% à l’essence, 10% à la restauration et au taxi et transports locaux, 7% à la location de voitures et 5 % au train. Ne cherchez pas où se trouve l’erreur dans ces chiffres, nous ne parlons pas des mêmes marchés que ceux du voyage d’affaires.
Pour cette étude, 3 postes tiennent le haut du pavé de la note de frais : l’essence avec 31%, l’hôtel avec 22% et le restaurant avec 18 %. Comme on peut s’y attendre, 70% des entreprises interrogées gèrent les notes de frais sans outils. 41% donnent des avances de frais à leur collaborateur mais 64% ne disposent pas de reporting. Enfin, sans surprise 86% des salariés payent avec leur carte personnelle.
À l’évidence, c’est sur ce dernier point que l’entreprise qui a commandité l’étude souhaite travailler. Si les résultats apportent quelques éclairages nouveaux, le panel retenu, une centaine d’entreprises en France, ne permet pas de tirer des conclusions globales sur les quelque 600 000 entreprises qui voyagent réellement et les 2 millions qui assument des déplacements de proximité. Le marché reste atomisé, difficile à mesurer en raison des différences sensibles au niveau de la taille des entreprises.
