Ils sont désormais plus de 10 000 chauffeurs de VTC à exercer sur Paris et font désormais savoir leur ras le bol face aux agissements de « leurs employeurs », les Uber, LeCab ou autres. Sur les réseaux sociaux, ils demandent une approche tarifaire qui prenne en compte leurs propres coûts d’exploitation.
L’origine de la grogne ? Les baisses de tarif imposées, l’amplitude horaire qui ne tient pas compte de l’optimisation des déplacements et la baisse du taux de commission.
Pour sensibiliser les clients, les chauffeurs de VTC devraient manifester à Paris le 18 décembre prochain et pourraient ne pas répondre aux sollicitions de leurs clients. Ils veulent se faire entendre également des pouvoirs publics et envisagent la création d’un syndicat en charge de défendre leurs intérêts. Sur les réseaux sociaux, s’ils reconnaissent qu’il est plus facile de devenir chauffeurs de VTC plutôt que taxi, tous veulent que cette profession soit mieux structurée.
Enfin, dernier point de discorde, le forfait aéroport qui, selon eux, est inférieur au coût réel en raison des difficultés de circulation aux heures de pointe.
Pour sensibiliser les clients, les chauffeurs de VTC devraient manifester à Paris le 18 décembre prochain et pourraient ne pas répondre aux sollicitions de leurs clients. Ils veulent se faire entendre également des pouvoirs publics et envisagent la création d’un syndicat en charge de défendre leurs intérêts. Sur les réseaux sociaux, s’ils reconnaissent qu’il est plus facile de devenir chauffeurs de VTC plutôt que taxi, tous veulent que cette profession soit mieux structurée.
Enfin, dernier point de discorde, le forfait aéroport qui, selon eux, est inférieur au coût réel en raison des difficultés de circulation aux heures de pointe.
