Les experts avaient fait part de leur scepticisme lorsque Barbara Dalibard, alors Directrice Générale de SNCF voyageurs, avait assuré en janvier que le wifi serait présent dans les TGV en 2017. Guillaume Pepy a pourtant confirmé ce planning lors du bilan de la 1ere année du plan #DIGITALSNCF, présenté le 12 avril 2016.
Lors de la conférence de presse du 12 avril, Guillaume Pepy a assuré que le déploiement du wifi dans les TGV sera achevé fin 2017. Il a également indiqué que 90% des voyageurs pourront profiter d'une couverture 3G/4G pendant leur trajet d'ici mi-2019.
Mais la SNCF ne se concentre pas uniquement sur les services clients, elle place l'internet industriel au cœur du second volet de sa stratégie digitale et a pour cela augmenté ses investissements de 450 à 600 millions d'euros sur 3 ans. En utilisant les nouvelles technologies dans ses infrastructures et ses opérations, l'entreprise espère réduire ses dépenses. «Les coûts de maintenance vont être réduits de façon très importante, certains parlent de 10% à 30% de gains d'efficacité», a expliqué Guillaume Pepy.
Ce projet repose entre autres sur l'installation de millions de capteurs de nouvelles générations pour surveiller les trains, les gares mais également le réseau ferré. Ils lui permettront de recueillir de nombreuses informations stockés dans des clouds. Ces données serviront à améliorer la qualité de service de la société. Par exemple, ces capteurs, déjà utilisés sur plus de 220 trains franciliens, peuvent mesurer le niveau de liquide des lave-glaces, la température des groupes de climatisation, le degré d'usure des pantographes ou le niveau de capacité des batteries. Il sera ainsi possible de mener des opérations de maintenance préventives plus facilement et ainsi réduire les grosses réparations.
Mais la SNCF ne se concentre pas uniquement sur les services clients, elle place l'internet industriel au cœur du second volet de sa stratégie digitale et a pour cela augmenté ses investissements de 450 à 600 millions d'euros sur 3 ans. En utilisant les nouvelles technologies dans ses infrastructures et ses opérations, l'entreprise espère réduire ses dépenses. «Les coûts de maintenance vont être réduits de façon très importante, certains parlent de 10% à 30% de gains d'efficacité», a expliqué Guillaume Pepy.
Ce projet repose entre autres sur l'installation de millions de capteurs de nouvelles générations pour surveiller les trains, les gares mais également le réseau ferré. Ils lui permettront de recueillir de nombreuses informations stockés dans des clouds. Ces données serviront à améliorer la qualité de service de la société. Par exemple, ces capteurs, déjà utilisés sur plus de 220 trains franciliens, peuvent mesurer le niveau de liquide des lave-glaces, la température des groupes de climatisation, le degré d'usure des pantographes ou le niveau de capacité des batteries. Il sera ainsi possible de mener des opérations de maintenance préventives plus facilement et ainsi réduire les grosses réparations.
