Déterminé à se rendre en Syrie, un ressortissant de ce pays a été arrêté à Orly après avoir forcé un portique pour accéder sur le tarmac et tenter de monter dans un avion.
Forcené ou terroriste en puissance ? Le Figaro rapporte qu'un
homme de 27 ans a été interpellé jeudi matin puis placé en garde à vue par la Gendarmerie des transports aériens. Pendant une heure et quart, il a joué au chat et à la souris avec les contrôles de sécurité.
Après avoir forcé le passage d'un portique protégé par des agents de sécurité à 7h56, il a déclenché une procédure d'alerte d'ouverture des portes à 8h02 en déverrouillant un accès menant directement sur les pistes. Les équipes de la Gendarmerie des transports aériens ont été mobilisées et c'est finalement à 8h55 qu'elles ont mis la main sur l'inconnu alors qu'il venait de rejoindre un avion sur le tarmac. En l'occurrence un appareil de Tunis Air, cloué au sol en raison d'avaries techniques.
Le suspect a refusé se décliner son identité, mais il était porteur de deux passeports et d'un permis de conduire syriens. Il a déclaré aux enquêteurs qu'il voulait «rejoindre la Syrie». Inconnu des services de police et de gendarmerie, il n'est pas signalisé par une fiche S. L'avion de Tunis Air a été passé au crible pour vérifier, chiens à l'appui, qu'il n'avait pas été piégé d'une quelconque façon.
homme de 27 ans a été interpellé jeudi matin puis placé en garde à vue par la Gendarmerie des transports aériens. Pendant une heure et quart, il a joué au chat et à la souris avec les contrôles de sécurité.
Après avoir forcé le passage d'un portique protégé par des agents de sécurité à 7h56, il a déclenché une procédure d'alerte d'ouverture des portes à 8h02 en déverrouillant un accès menant directement sur les pistes. Les équipes de la Gendarmerie des transports aériens ont été mobilisées et c'est finalement à 8h55 qu'elles ont mis la main sur l'inconnu alors qu'il venait de rejoindre un avion sur le tarmac. En l'occurrence un appareil de Tunis Air, cloué au sol en raison d'avaries techniques.
Le suspect a refusé se décliner son identité, mais il était porteur de deux passeports et d'un permis de conduire syriens. Il a déclaré aux enquêteurs qu'il voulait «rejoindre la Syrie». Inconnu des services de police et de gendarmerie, il n'est pas signalisé par une fiche S. L'avion de Tunis Air a été passé au crible pour vérifier, chiens à l'appui, qu'il n'avait pas été piégé d'une quelconque façon.
