Le vol AF111 Shanghai – Paris du 13 juillet dernier aurait pu virer au drame. L'avion d'Air France a perdu une pièce de 60 kg liée au train d'atterrissage quelques minutes après le décollage. Le morceau est tombé dans la banlieue de la ville chinoise. Heureusement, il n'a fait aucune victime lors de sa chute.
La plaque de métal du B777 d'Air France est tombé de 3700 mètres et a traversé le toit d'une usine de la banlieue de Shanghai. Personne n'a été blessé par cet objet de 60 kg venu du ciel. Malgré l'absence de cette pièce, l'avion a même pu poursuivre son chemin vers Paris sans encombre. La sécurité du vol n'était pas remise en cause.
Chris Villiers, le porte parole de Boeing, a précisé que ce morceau métallique ne faisait pas partie du mécanisme du train d'atterrissage. Il s'agit en fait d'une pièce de la trappe. «Nous coopérons vraiment étroitement avec nos clients et avons fourni des directives sur la façon de faire l'entretien nécessaire», a-t-il ajouté. Le constructeur américain a également publié un bulletin de service pour les compagnies aériennes. Il explique les mesures à prendre pour éviter que le problème ne se reproduise. Des changements ont également été effectués pour les appareils qui sortent de ses usines.
Chris Villiers, le porte parole de Boeing, a précisé que ce morceau métallique ne faisait pas partie du mécanisme du train d'atterrissage. Il s'agit en fait d'une pièce de la trappe. «Nous coopérons vraiment étroitement avec nos clients et avons fourni des directives sur la façon de faire l'entretien nécessaire», a-t-il ajouté. Le constructeur américain a également publié un bulletin de service pour les compagnies aériennes. Il explique les mesures à prendre pour éviter que le problème ne se reproduise. Des changements ont également été effectués pour les appareils qui sortent de ses usines.
