Le Royaume-Uni compte mettre un terme à la libre circulation des citoyens européens sur son sol dès sa sortie définitive de l'UE, soit en mars 2019. Le porte-parole de la Première Ministre a donné cette précision le 31 juillet 2017 après des annonces contradictoires de plusieurs ministres sur le sujet.
Les voyageurs d'affaires, citoyens de l'UE, ne pourront plus circuler librement au Royaume-Uni à partir de mars 2019. Le porte-parole met ainsi un terme aux apparentes divisions apparues entre plusieurs ministres sur le sujet ce week-end.
En effet, le ministre des Finances Philip Hammond ainsi que la secrétaire d’État à l’intérieur Amber Rudd ont laissé entendre le vendredi 28 juillet qu'il y avait un large consensus au sein du gouvernement pour un Brexit en douceur, se traduisant entre autres par le maintien du principe de libre circulation des personnes pendant trois ans.
Cependant, le ministre du Commerce international, Liam Fox, a rejeté cette annonce dans les colonnes du Sunday Times. Pour lui, ce scénario va à l'encontre des résultats du referendum. "Nous avions été clair, retrouver le contrôle de nos frontières était l’une de nos priorités", a-t-il expliqué.
Le porte-parole de la première ministre lui a donné raison en assurant que la fin de la libre circulation des personnes prendrait effet au moment du Brexit. Toutefois, il n'a pas donné de détails sur le futur dispositif d'immigration. Il a indiqué qu'il sera présenté en "temps voulu", ajoutant "Il serait erroné de spéculer sur sa forme ou de suggérer que la libre circulation se poursuivra comme c'est le cas maintenant".
En effet, le ministre des Finances Philip Hammond ainsi que la secrétaire d’État à l’intérieur Amber Rudd ont laissé entendre le vendredi 28 juillet qu'il y avait un large consensus au sein du gouvernement pour un Brexit en douceur, se traduisant entre autres par le maintien du principe de libre circulation des personnes pendant trois ans.
Cependant, le ministre du Commerce international, Liam Fox, a rejeté cette annonce dans les colonnes du Sunday Times. Pour lui, ce scénario va à l'encontre des résultats du referendum. "Nous avions été clair, retrouver le contrôle de nos frontières était l’une de nos priorités", a-t-il expliqué.
Le porte-parole de la première ministre lui a donné raison en assurant que la fin de la libre circulation des personnes prendrait effet au moment du Brexit. Toutefois, il n'a pas donné de détails sur le futur dispositif d'immigration. Il a indiqué qu'il sera présenté en "temps voulu", ajoutant "Il serait erroné de spéculer sur sa forme ou de suggérer que la libre circulation se poursuivra comme c'est le cas maintenant".
