Le syndicat des pilotes SNPL Hop ! maintient la grève prévue du 13 au 18 juillet 2017. Les 10 jours supplémentaires de négociation n'ont pas suffi pour trouver une entente avec la direction de la filiale régionale d'Air France.
Les voyageurs d'affaires qui ont réservé un vol Hop ! pourraient connaître des difficultés le week-end du 14 juillet. Le syndicat SNPL qui représente les pilotes de la compagnie, maintient son préavis de grève du 13 au 18 juillet dénonçant "une nouvelle rupture du dialogue social" avec la direction et "le contournement des organisations syndicales". L'autre syndicat des navigants Flight Union Cockpit a rejoint le mouvement.
La validité des accords collectifs des trois secteurs de vol de la compagnie Hop! a expiré le 3 juillet 2017. Le SNPL qui avait repoussé son mouvement de 10 jours pour privilégier les négociations, assure qu'il "était prêt à signer la prolongation de leurs dispositions, le temps de finaliser la Convention PNT unique et sous réserve de l’obtention de quelques aménagements dans les accords existants". Mais la direction de la compagnie a de son côté "demandé une dérogation prenant la forme d’un arrêté ministériel auprès de la DGAC, ce qui lui a été accordé contre l’avis des syndicats consultés". L'organisation syndicale estime que "ce passage en force démontre, une fois encore, le mépris de la direction de Hop! pour le dialogue social en général et pour ses pilotes en particulier".
En outre "Un recours contentieux en référé pour faire annuler l’arrêté ministériel que l’autorité de tutelle a cru pouvoir signer pour satisfaire les dirigeants de Hop!, sera déposé dans quelques heures", explique le SNPL qui appelle la direction à revenir à la table des négociations.
La validité des accords collectifs des trois secteurs de vol de la compagnie Hop! a expiré le 3 juillet 2017. Le SNPL qui avait repoussé son mouvement de 10 jours pour privilégier les négociations, assure qu'il "était prêt à signer la prolongation de leurs dispositions, le temps de finaliser la Convention PNT unique et sous réserve de l’obtention de quelques aménagements dans les accords existants". Mais la direction de la compagnie a de son côté "demandé une dérogation prenant la forme d’un arrêté ministériel auprès de la DGAC, ce qui lui a été accordé contre l’avis des syndicats consultés". L'organisation syndicale estime que "ce passage en force démontre, une fois encore, le mépris de la direction de Hop! pour le dialogue social en général et pour ses pilotes en particulier".
En outre "Un recours contentieux en référé pour faire annuler l’arrêté ministériel que l’autorité de tutelle a cru pouvoir signer pour satisfaire les dirigeants de Hop!, sera déposé dans quelques heures", explique le SNPL qui appelle la direction à revenir à la table des négociations.
