La demande aérienne a augmenté de 5,8% en octobre par rapport à la même période l'année dernière. Cette croissance a été principalement portée par l'Asie Pacifique et le Moyen-Orient.
Le trafic passagers enregistre une hausse de 5,8% en octobre. L'Asie Pacifique est la région affichant la plus forte progression avec 9,2%. Elle est suivie par les compagnies du Moyen-Orient qui ont vu leur trafic passagers augmenter de 6,5%. Ainsi, ces deux régions sont les moteurs de la croissance d'octobre et compensent la faible progression observée sur l'Amérique du Nord (2,1%). L'Europe présente pour sa part une hausse de trafic globale de 5,3%. Uniquement sur le secteur international, la demande a grimpé de 5,7%. IATA estime "La demande internationale pour les transporteurs européens semble revenir à la normale après le repli causé par le terrorisme et l'instabilité politique plus tôt cette année".
Les capacités mondiales des compagnies aériennes ont augmenté plus fortement que le trafic passagers : +6,3%. Cela a conduit à une baisse du coefficient de remplissage de 0,4 point. Le taux d'occupation est ainsi à 80,1%.
"La croissance de la demande passagers est conforme aux tendances à long-terme, mais représente une détérioration par rapport à septembre (7,1%). Tandis que l'impact négatif sur le trafic des attaques terroristes et de l'instabilité politique dans certaines parties du monde a diminué, la tendance à la baisse des rendements à long terme – qui a contribué à stimuler les déplacements – s'est stabilisée. De plus, l'accord récent de l'OPEP visant à restreindre la production pétrolière suggère que la chute des prix du carburant est finie", explique Alexandre de Juniac, directeur général de l'association aérienne.
Les capacités mondiales des compagnies aériennes ont augmenté plus fortement que le trafic passagers : +6,3%. Cela a conduit à une baisse du coefficient de remplissage de 0,4 point. Le taux d'occupation est ainsi à 80,1%.
"La croissance de la demande passagers est conforme aux tendances à long-terme, mais représente une détérioration par rapport à septembre (7,1%). Tandis que l'impact négatif sur le trafic des attaques terroristes et de l'instabilité politique dans certaines parties du monde a diminué, la tendance à la baisse des rendements à long terme – qui a contribué à stimuler les déplacements – s'est stabilisée. De plus, l'accord récent de l'OPEP visant à restreindre la production pétrolière suggère que la chute des prix du carburant est finie", explique Alexandre de Juniac, directeur général de l'association aérienne.