IATA estime que le transport aérien va voir son chiffre d'affaires progresser de 32,5 milliards d'euros en 2017 pour atteindre 688 milliards d'euros. Toutefois, son bénéfice devrait être moins important que l'année précédente en raison de la hausse du prix du pétrole et le poids des charges, selon l'Association aérienne internationale.
Alexandre de Juniac, patron de l'association IATA, estime que le secteur du transport aérien devrait enregistrer une hausse de son chiffre d'affaires de 32,5 milliards d'euros en 2017 pour atteindre ainsi 688 milliards d'euros. Mais l'association revoit ses prévisions de bénéfice net à la baisse en raison "en raison de la hausse attendue des prix du pétrole". Il devrait passer sous la barre des 30 milliards de francs suisses (28 milliards d'euros) cette année contre 35 milliards de francs de bénéfices (32,5 milliards) en 2016.
Le nouveau président de l'association rappelle également dans un entretien accordé au journal suisse Le Temps "nous sommes un secteur déjà très lourdement imposé". Il ne voit donc pas d'un bon œil la taxe d'un ou 2 francs sur les billets d'avion que souhaitent mettre en place certains parlementaires suisses.
Alexandre de Juniac qui avait déjà dit son opposition à l'interdiction des appareils électroniques à bord mise en place par les USA et le Royaume-Uni, réitère sa critique "Non seulement l’efficacité d’une telle mesure n’est pas démontrée à court terme, mais elle s’avère hautement préjudiciable à long terme. Pour les compagnies, c’est commercialement inacceptable. Cette décision sape également la confiance des passagers en la sécurité du transport aérien. J’en appelle donc aux gouvernements à trouver, au besoin avec notre aide, des solutions alternatives de toute urgence". Méthode Coué ?
Le nouveau président de l'association rappelle également dans un entretien accordé au journal suisse Le Temps "nous sommes un secteur déjà très lourdement imposé". Il ne voit donc pas d'un bon œil la taxe d'un ou 2 francs sur les billets d'avion que souhaitent mettre en place certains parlementaires suisses.
Alexandre de Juniac qui avait déjà dit son opposition à l'interdiction des appareils électroniques à bord mise en place par les USA et le Royaume-Uni, réitère sa critique "Non seulement l’efficacité d’une telle mesure n’est pas démontrée à court terme, mais elle s’avère hautement préjudiciable à long terme. Pour les compagnies, c’est commercialement inacceptable. Cette décision sape également la confiance des passagers en la sécurité du transport aérien. J’en appelle donc aux gouvernements à trouver, au besoin avec notre aide, des solutions alternatives de toute urgence". Méthode Coué ?
