Finnair, l’été prochain, augmentera ses fréquences vers ses principales destinations américaines et asiatiques, Chicago, Dallas Forth Worth, Seattle, Los Angeles, Osaka, Nagoya et Shanghai. Ainsi, la compagnie finlandaise passera à 11 vols par semaine sur Dallas, sa destination la plus récente, contre six cette année. “À partir de Dallas et Chicago, nos clients pourront accéder au vaste réseau nord et sud-américain de notre partenaire American Airlines, tandis que Seattle et Los Angeles (deux liaisons hebdomadaires supplémentaires sur chaque ville l’été prochain, ndr) faciliteront l’accès à d’autres destinations sur la côte ouest et à Hawaï, en collaboration avec nos partenaires American Airlines et Alaska Airlines » précise Christine Rovelli, Chief Revenue Officer de Finnair.
En Asie, la compagnie desservira chaque jour Osaka, ville hôte de l’Exposition universelle de 2025. Nagoya, rouverte l’été dernier, bénéficiera également d’une fréquence hebdomadaire supplémentaire, portant le total à quatre vols par semaine. Finnair ajoutera un vol hebdomadaire vers Shanghai, passant à quatre liaisons hebdomadaires durant la saison estivale 2025.
Finnair vole aussi sur New York JFK, Miami, Bangkok, Delhi, Séoul, Phuket, Tokyo (Haneda et Narita) et Singapour.
Avant le coup d’arrêt du Covid-19, le transporteur n’avait cessé d’améliorer l’offre sur son hub d’Helsinki. A ses correspondances fluides dans la capitale finlandaise s’ajoutaient la situation géographique de la Finlande, lui permettant de proposer les liaisons les plus rapides, par la route du Nord, entre des destinations européennes et les mégapoles asiatiques.
Un avantage mis à mal également après la pandémie, par la réouverture très progressive des frontières asiatiques et la stratégie de zéro covid de la Chine, auxquelles s’ajoutera dès février 2022 la guerre en Ukraine : les temps de vol sont alors allongés de trois heures en moyenne avec une route encore plus au nord pour éviter le ciel russe. La compagnie finlandaise aura alors cherché à rééquilibrer son offre long-courrier avec les Etats-Unis. Malgré ce handicap toujours persistant des temps de vol rallongés, l’heure est à le relance de ses dessertes asiatiques.