C’est une question rarement abordée dans l’univers du voyage d’affaires où l’on a plus souvent l’habitude de parler finances que culture. Et pourtant, si l’on en croit celles et ceux qui se déplacent pour leur travail, la perception des us et coutumes du pays où ils se rendent est souvent essentielle à sa connaissance. Mieux, connaître le pays c’est mieux comprendre sa façon de fonctionner, d’acheter et surtout d’échanger avec les étrangers.
Faire du business dans le monde répond souvent à des règles identiques d’un pays à l’autre. Mais faire du business en y ajoutant la dimension humaine, souvent indispensable selon les pays, est un art que pratiquent encore peu de voyageurs d’affaires. Et pourtant, ignorer les spécificités culturelles de ses partenaires à l’étranger peut mener à l’incident voir même parfois au conflit. La culture comme outil de séduction ? Voilà la réponse que livre le baromètre FCM Travel solutions et DéplacementsPros.
Pour éviter le faux pas culturel, encore faut-il connaître les règles en vigueur dans le pays visité. De la rencontre à la signature d’un contrat, toutes les étapes sont souvent balisées et répondent à des habitudes qu’il faut connaître avant de s’envoler vers ses rendez-vous. C’est la fameuse théorie commerciale "de la première chance". Celle qui permet de séduire du premier coup d’œil l’interlocuteur… Et lui donner d’emblée une mauvaise image, c’est pénaliser sa mission.
Si l’on regarde les résultats du Baromètre, on constate sans surprise que c'est vers l’Asie que le choc culturel est souvent le plus fort. Bonne nouvelle, les voyageurs d’affaires sont 55% à s’informer sur les coutumes en affaires et la philosophie de travail du pays asiatiques où ils se rendent. Dommage que 11% ne fassent pas cet effort.
Autre constat, contrairement à ce que l’on peut penser, ce n’est pas forcément la langue ou la conception des affaires qui étonnent les voyageurs d’affaires. Ce sont souvent les coutumes locales et les normes sociales associées à la vie quotidienne comme à l’occasion de la visite dans un magasin.
Toujours est-il qu’au final, ce fameux choc culturel est d’abord et avant tout une expérience instructive pour 41% des personnes interrogées. 19% le trouve cependant gênant, faute de s’être suffisamment préparés ou de connaître les règles face à des situations souvent très éloignées de nos habitudes. Enfin, on découvrira que pour beaucoup d’acheteurs, mais surtout de voyageurs, l’information fournie par l’agence de voyages peut répondre à plus de 70% aux cas de figure rencontrés.
Contrairement à ce que l’on imagine, la culture n’est pas là seulement pour alimenter la curiosité de ceux qui se déplace. Elle devient également une arme pour mieux appréhender le pays, négocier avec ses dirigeants économiques et s’intégrer à son environnement sur place. Combien d’acheteurs se préoccupent-t-ils aujourd’hui de cette approche ? Peu car pour beaucoup de Travel manager, la curiosité est l’affaire du voyageur et non de l’entreprise.
Pour éviter le faux pas culturel, encore faut-il connaître les règles en vigueur dans le pays visité. De la rencontre à la signature d’un contrat, toutes les étapes sont souvent balisées et répondent à des habitudes qu’il faut connaître avant de s’envoler vers ses rendez-vous. C’est la fameuse théorie commerciale "de la première chance". Celle qui permet de séduire du premier coup d’œil l’interlocuteur… Et lui donner d’emblée une mauvaise image, c’est pénaliser sa mission.
Si l’on regarde les résultats du Baromètre, on constate sans surprise que c'est vers l’Asie que le choc culturel est souvent le plus fort. Bonne nouvelle, les voyageurs d’affaires sont 55% à s’informer sur les coutumes en affaires et la philosophie de travail du pays asiatiques où ils se rendent. Dommage que 11% ne fassent pas cet effort.
Autre constat, contrairement à ce que l’on peut penser, ce n’est pas forcément la langue ou la conception des affaires qui étonnent les voyageurs d’affaires. Ce sont souvent les coutumes locales et les normes sociales associées à la vie quotidienne comme à l’occasion de la visite dans un magasin.
Toujours est-il qu’au final, ce fameux choc culturel est d’abord et avant tout une expérience instructive pour 41% des personnes interrogées. 19% le trouve cependant gênant, faute de s’être suffisamment préparés ou de connaître les règles face à des situations souvent très éloignées de nos habitudes. Enfin, on découvrira que pour beaucoup d’acheteurs, mais surtout de voyageurs, l’information fournie par l’agence de voyages peut répondre à plus de 70% aux cas de figure rencontrés.
Contrairement à ce que l’on imagine, la culture n’est pas là seulement pour alimenter la curiosité de ceux qui se déplace. Elle devient également une arme pour mieux appréhender le pays, négocier avec ses dirigeants économiques et s’intégrer à son environnement sur place. Combien d’acheteurs se préoccupent-t-ils aujourd’hui de cette approche ? Peu car pour beaucoup de Travel manager, la curiosité est l’affaire du voyageur et non de l’entreprise.