Les syndicats le confirment : le plateau d’affaires nantais de CWT fermera bien fin octobre comme annoncé par Brigitte Nisio, la patronne de CWT France, il y a quelques mois. Une trentaine de salariés, sur les presque 100 qu’a connu le plateau, sont encore en poste à ce jour. Ils devraient être licenciés pour raisons […]
Les syndicats le confirment : le plateau d'affaires nantais de CWT fermera bien fin octobre comme annoncé par Brigitte Nisio, la patronne de CWT France, il y a quelques mois.
Une trentaine de salariés, sur les presque 100 qu'a connu le plateau, sont encore en poste à ce jour. Ils devraient être licenciés pour raisons économiques. Si certains d'entre eux comprennent les évolutions engagées dans le monde du voyage d'affaires tous contestent la volonté de CWT de déployer l'activité en Inde ou en Pologne. "Nous avons un savoir-faire apprécié de nos clients", souligne un salarié qui conteste l'incapacité de la direction à offrir de nouveaux projets au personnel nantais. "Nous aurions pu nous adapter à l'évolution numérique mais en restant sur place", tempête notre témoin qui, raisons familiales obligent, restera sur Nantes sans bien savoir ce qu'il pourra trouver comme travail.
Une trentaine de salariés, sur les presque 100 qu'a connu le plateau, sont encore en poste à ce jour. Ils devraient être licenciés pour raisons économiques. Si certains d'entre eux comprennent les évolutions engagées dans le monde du voyage d'affaires tous contestent la volonté de CWT de déployer l'activité en Inde ou en Pologne. "Nous avons un savoir-faire apprécié de nos clients", souligne un salarié qui conteste l'incapacité de la direction à offrir de nouveaux projets au personnel nantais. "Nous aurions pu nous adapter à l'évolution numérique mais en restant sur place", tempête notre témoin qui, raisons familiales obligent, restera sur Nantes sans bien savoir ce qu'il pourra trouver comme travail.
