Le processus de cession des parts de l’État dans la société Aéroports de la Côte d'Azur (ACA) va débuter en septembre. Bercy a expliqué «La concertation sur le cahier des charges et la procédure de cession sera lancée en septembre». Le ministère de l’Économie a ajouté que «la clôture de l’opération est prévue au premier semestre 2016» précisant que «l’État associera étroitement les acteurs locaux».
L’État qui détient 60% du gestionnaire des pistes de Nice, Cannes-Mandelieu et Saint-Tropez, souhaite vendre la totalité de ses parts. Le reste du capital est partagé entre la chambre de commerce et d’industrie de Nice-Côte d’Azur (25%), la région PACA, le département des Alpes-Maritimes et la métropole de Nice (5% chacun). Comme pour la plate-forme de Lyon, le premier appel d'offre devrait être lancé en octobre. La préqualification sera mi-novembre. La seconde phase qui débutera en décembre, devrait aboutir au choix de l'acheteur à la fin du premier trimestre.
ADP est intéressé par l'installation niçoise mais sa candidature n'enthousiasme pas les acteurs de la région. Le maire de Cannes, David Lisnard, a indiqué dans un communiqué que les élus locaux ont demandé à l’État de «garantir l’autonomie de la plate-forme azuréenne par rapport aux Aéroports de Paris». Bernard Kleynhoff, président la CCI Nice Côte d'Azur, a confirmé «Nous avons collectivement exprimé le fait que ce n’était pas notre meilleur candidat».
L’État qui détient 60% du gestionnaire des pistes de Nice, Cannes-Mandelieu et Saint-Tropez, souhaite vendre la totalité de ses parts. Le reste du capital est partagé entre la chambre de commerce et d’industrie de Nice-Côte d’Azur (25%), la région PACA, le département des Alpes-Maritimes et la métropole de Nice (5% chacun). Comme pour la plate-forme de Lyon, le premier appel d'offre devrait être lancé en octobre. La préqualification sera mi-novembre. La seconde phase qui débutera en décembre, devrait aboutir au choix de l'acheteur à la fin du premier trimestre.
ADP est intéressé par l'installation niçoise mais sa candidature n'enthousiasme pas les acteurs de la région. Le maire de Cannes, David Lisnard, a indiqué dans un communiqué que les élus locaux ont demandé à l’État de «garantir l’autonomie de la plate-forme azuréenne par rapport aux Aéroports de Paris». Bernard Kleynhoff, président la CCI Nice Côte d'Azur, a confirmé «Nous avons collectivement exprimé le fait que ce n’était pas notre meilleur candidat».