Le SNPL parle d'ajouter des dates de grève en plus des 23 et 24 avril prochains chez Air France. Le bras de fer continur. Ce mouvement est "un gâchis après des années d'efforts", estime mercredi le directeur général Franck Terner dans un entretien à La Tribune.
Les commentaires de Franck Terner sur le mouvement de grève en cours dans sa compagnie reflètent bien le sens général des commentaires que nous recevons sur DéplacementsPros : "gâchis" est le terme le plus fréquemment entendu, tandis que certains salariés font remarquer les taux de grévistes que publie chaque jour la compagnie, constants chez les pilotes mais moins chez les PNC ou au sol. Dans cet entretien à La Tribune, Franck Terner remarque : "La grève est un droit, mais je crois que notre proposition, si j'en juge par les interactions que j'ai avec les salariés, est plutôt bien reçue. D'ailleurs, si je peux me permettre, je suggérerais bien à l'intersyndicale de consulter les salariés".
Les salariés d'Air France ont observé ce mercredi leur neuvième jour de grève pour les salaires depuis février. L'intersyndicale réclamait initialement 6% en 2018 au titre des efforts fournis dans le passé et des bons résultats de l'entreprise, une revendication qu'elle a ramenée lundi à 5,1%. La Direction a fait elle aussi des propositions, ouvertes à la signature jusqu'à vendredi, sans reprise semble t-il des discussions. Faudra t-il un référendum des salariés ou la nomination d'un médiateur pour parvenir à mettre un point final à ce mouvement ?
Pour l'heure, des scissions apparaissent au sein des pilotes. Le SNPL refuse d'organiser un referendum parmi les navigants et s'apprête à fixer de nouvelles dates au-delà des 23 et 24 avril, déjà prévu. Il réclame la reprise de négociations, alors que la direction les a déclarées closes lundi dernier. Le bras de fer continue.
Les salariés d'Air France ont observé ce mercredi leur neuvième jour de grève pour les salaires depuis février. L'intersyndicale réclamait initialement 6% en 2018 au titre des efforts fournis dans le passé et des bons résultats de l'entreprise, une revendication qu'elle a ramenée lundi à 5,1%. La Direction a fait elle aussi des propositions, ouvertes à la signature jusqu'à vendredi, sans reprise semble t-il des discussions. Faudra t-il un référendum des salariés ou la nomination d'un médiateur pour parvenir à mettre un point final à ce mouvement ?
Pour l'heure, des scissions apparaissent au sein des pilotes. Le SNPL refuse d'organiser un referendum parmi les navigants et s'apprête à fixer de nouvelles dates au-delà des 23 et 24 avril, déjà prévu. Il réclame la reprise de négociations, alors que la direction les a déclarées closes lundi dernier. Le bras de fer continue.
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