Désireuse de garder ses hôtesses, Qatar Airways a assoupli les conditions imposées à ses salariées. Les PNC qui se marient ou sont enceintes ne sont maintenant plus menacées de perdre leur emploi.
Qatar Airways a été plusieurs fois montrée du doigt pour les conditions de travail imposées à son personnel féminin. Les contrats remis aux femmes exigeaient qu'elles demandent l'autorisation à leur direction avant de se marier et permettaient le licenciement des hôtesses enceintes. Ces dispositions seront bientôt de l'histoire ancienne. La compagnie qui a besoin de recruter au moins 6000 hôtesses et stewards dans les deux prochaines années, a assoupli son règlement. Les hôtesses ne risquent plus de se faire licencier si elles se marient ou sont enceintes dans les 5 premières années de leur contrat. Selon les nouvelles dispositions qui rentreront en vigueur en décembre, les femmes enceintes seront transférées à un emploi au sol pendant leur grossesse. Elles pourront également se marier lorsqu'elles le veulent, après toutefois avoir informé l'entreprise.
Rossen Dimitrov, vice président de l’expérience client du transporteur, a reconnu auprès de Bloomberg "Comme la compagnie mûrit, la main-d’œuvre mûrit". Il a ajouté "vous ne pouvez pas vous tourner vers quelqu'un qui a 35 ans et dire "tu ne peux pas avoir de famille, attend". Nous voulons garder les gens". Le cadre a également indiqué qu'il allait examiner les couvre-feux imposés aux salariés séjournant dans les résidences de la compagnie ainsi que les autres réclamations qui ont conduit les syndicats à saisir l'Organisation Internationale du Travail, l'année dernière.
Rossen Dimitrov, vice président de l’expérience client du transporteur, a reconnu auprès de Bloomberg "Comme la compagnie mûrit, la main-d’œuvre mûrit". Il a ajouté "vous ne pouvez pas vous tourner vers quelqu'un qui a 35 ans et dire "tu ne peux pas avoir de famille, attend". Nous voulons garder les gens". Le cadre a également indiqué qu'il allait examiner les couvre-feux imposés aux salariés séjournant dans les résidences de la compagnie ainsi que les autres réclamations qui ont conduit les syndicats à saisir l'Organisation Internationale du Travail, l'année dernière.
