Alors que le ministre de l’agriculture reçoit les différentes parties en présence dans le dossier du porc français, plusieurs associations de jeunes agriculteurs étudient des moyens d’action musclés pour se faire entendre par le gouvernement. L’une d’entre elles, largement inspirée de celles menées par les taxis ces derniers mois, viserait les aéroports et les gares.
Faut-il s’attendre à un blocage des gares et des aéroports de la région parisienne à la rentrée prochaine ? Rien n’est impossible si l’on en croit plusieurs sources syndicales agricoles qui veulent montrer leur agacement face à la lenteur des négociations sur les prix engagées depuis le début de l’été. Pour les éleveurs, confrontés à une forte baisse de revenus, il apparaît aujourd’hui indispensable de sensibiliser les Français à leurs difficultés financières qui annoncent "la fin de la ruralité en France". Ces actions, si elles sont confirmées, viseraient la capitale et une vingtaine de grandes villes en France comme Rennes, Nantes, Grenoble, Lyon ou Clermont-Ferrand.
Il est encore difficile de dire à quelle période les agriculteurs veulent engager leur coup de force. Selon des sources syndicales, reprises par différentes fédérations départementales d’agriculteurs, les premières semaines du mois de septembre seraient propices à de telles actions. La décision est bien évidemment liée aux résultats des négociations engagées depuis quelques jours par le ministre de l’agriculture.
Il est encore difficile de dire à quelle période les agriculteurs veulent engager leur coup de force. Selon des sources syndicales, reprises par différentes fédérations départementales d’agriculteurs, les premières semaines du mois de septembre seraient propices à de telles actions. La décision est bien évidemment liée aux résultats des négociations engagées depuis quelques jours par le ministre de l’agriculture.
