En septembre dernier, IATA mettait en garde contre le nombre grandissant d'incidents causés par des passagers perturbateurs. Et, Brussels Airlines ne risque pas de contredire l'association des compagnies aériennes. Elle a dû débarquer le 19 novembre un groupe de 41 voyageurs dont une bonne partie était alcoolisée. Résultat : 2h30 de retard.
Les passagers perturbateurs sont de plus en plus nombreux dans les avions. Mais Brussels Airlines a dû faire face à un cap exceptionnel dans l'avion de son vol Bruxelles – Alicante du 19 novembre dernier. La porte-parole de la compagnie explique "L’embarquement s’est déroulé normalement. Mais au moment où l’appareil roulait vers la piste de décollage, un groupe d’individus a commencé à mal se conduire. L’appel au calme du commandant de bord n’a eu aucun effet. Celui-ci a dès lors décidé de revenir à la porte d’embarquement afin de garantir la sécurité des passagers".
41 personnes dont une partie était ivre ont ainsi été débarquées. Cette manœuvre supplémentaire a fait perdre 2h30 aux autres clients. Le temps de faire sortir les perturbateurs, mais aussi de récupérer leurs valises dans la soute, l'équipage avait dépassé son temps de travail autorisé. Il a donc fallu attendre un autre équipage pour faire décoller l'avion.
41 personnes dont une partie était ivre ont ainsi été débarquées. Cette manœuvre supplémentaire a fait perdre 2h30 aux autres clients. Le temps de faire sortir les perturbateurs, mais aussi de récupérer leurs valises dans la soute, l'équipage avait dépassé son temps de travail autorisé. Il a donc fallu attendre un autre équipage pour faire décoller l'avion.
