Derrière ligne droite pour la compagnie air Méditerranée qui devrait être fixée sur son sort dans les heures à venir. Le tribunal de Commerce de Tarbes devrait se prononcer dès ce lundi 15 janvier sur l’avenir de la compagnie française.
La crainte du personnel ? Le dépôt de bilan et le rejet du plan proposé par le repreneur potentiel (on parle d'un ancien d’AOM) épaulé par un groupe bancaire européen. Pour beaucoup d’experts, l’équilibre financier annoncé est précaire d’autant que la gestion de la dette ne serait pas assurée dans les conditions attendues par les créanciers. La filiale grecque, Hermès, n’est pas concernée par cette décision de justice mais pourrait faire l’objet d’une procédure identique d’ici quelques mois.
Le Tribunal attend du repreneur qu'il garantisse la gestion de la dette globale qui pourrait atteindre entre 55 et 62 millions d’euros, tout en assurant le minimum de casse sociale.
Si les clients tourisme du transporteur sont confiants, il n’en va pas de même avec IATA et le loueur des appareils engagés sous les couleurs d’Air Med qui demandent, eux, des cautions et des garanties. Ce sera tout l’enjeu du dossier.
Le Tribunal attend du repreneur qu'il garantisse la gestion de la dette globale qui pourrait atteindre entre 55 et 62 millions d’euros, tout en assurant le minimum de casse sociale.
Si les clients tourisme du transporteur sont confiants, il n’en va pas de même avec IATA et le loueur des appareils engagés sous les couleurs d’Air Med qui demandent, eux, des cautions et des garanties. Ce sera tout l’enjeu du dossier.
