Le personnel navigant de la compagnie britannique s’est prononcé vendredi pour une nouvelle série de grèves. Le mouvement social qui touche la compagnie avait déjà entraîné une vingtaine de jours de grève en 2010. Les dirigeants pensent néanmoins pouvoir gérer plus efficacement l'impact du mouvement sur les voyageurs cette année, en y étant mieux préparés.
Le scrutin organisé par le syndicat Unite a livré ses résultats en fin de semaine : 78,5% des adhérents se disent favorables à une reprise du mouvement, avec un taux de participation qui atteint 75%.
British Airways a pour sa part remis en cause la représentativité du scrutin, en estimant que moins de la moitié du personnel navigant avait choisi le recours à la grève. Les dirigeants de la compagnie se disent également mieux armés cette année pour faire face à de nouveaux mouvements sociaux, grâce à un plan d'urgence de formation mis en place pour pouvoir pallier à un déficit de personnel navigant.
La date de reprise des grèves n’a pas encore été fixée, même si la période de Pâques avait été envisagée : une date démentie par les syndicalistes, qui espèrent pouvoir continuer les discussions avec BA pour parvenir à un accord.
Le mouvement social du personnel navigant portait à l’origine sur des suppressions de postes, avant de s’opposer aux sanctions imposées par la compagnie à des salariés grévistes. Il aurait déjà coûté près de 180 millions d’euros à la compagnie l’an passé.
British Airways a pour sa part remis en cause la représentativité du scrutin, en estimant que moins de la moitié du personnel navigant avait choisi le recours à la grève. Les dirigeants de la compagnie se disent également mieux armés cette année pour faire face à de nouveaux mouvements sociaux, grâce à un plan d'urgence de formation mis en place pour pouvoir pallier à un déficit de personnel navigant.
La date de reprise des grèves n’a pas encore été fixée, même si la période de Pâques avait été envisagée : une date démentie par les syndicalistes, qui espèrent pouvoir continuer les discussions avec BA pour parvenir à un accord.
Le mouvement social du personnel navigant portait à l’origine sur des suppressions de postes, avant de s’opposer aux sanctions imposées par la compagnie à des salariés grévistes. Il aurait déjà coûté près de 180 millions d’euros à la compagnie l’an passé.
