Le trafic aérien international se porte bien en mai. Il a augmenté de 6,2% par rapport à la même période l'année dernière. Toutefois IATA observe que le trafic Eco a progressé plus vite que celui des classes à haute contribution. Les gammes First et Affaires souffrent, en effet, un peu de la faiblesse des moteurs de la demande du Business travel.
Portés par les prix bas proposés par les compagnies aériennes, les voyages en classe éco ont grimpé de 6,4% en mai (contre 4,2% en avril). Le trafic Premium a également progressé mais moins fortement que la gamme économique avec +4,1%. IATA remarque que les classes first et business se remplissent moins vite que les Eco en raison du ralentissement des principaux acteurs du voyage d'affaires. La confiance des entreprises est en effet plombée par les marchés émergents, en particulier en Asie. Le ralentissement économique dans cette région a conduit à une baisse de la demande de sièges business.
L'analyse mensuelle de IATA ajoute que la croissance du trafic international est portée par l’accélération observée sur les marchés européens. Le secteur affiche une croissance de 5,2% soit le double de l'année dernière à la même époque. Il est entre autres boosté par le regain de confiance des entreprises.
L'association aérienne ajoute «Bien qu'il n'y ait pas eu de gain de part de marché des classes first et business sur le trafic global, la croissance dans le secteur des long-courriers a été robuste. Cela a aidé à maintenir le yields des classes "Avant" sur certains marchés. Cela a aussi contribué à supporter les performances financières des compagnies internationales, comparé à celles des compagnies court-courriers de certaines régions, principalement tournées sur le secteur loisir».
L'analyse mensuelle de IATA ajoute que la croissance du trafic international est portée par l’accélération observée sur les marchés européens. Le secteur affiche une croissance de 5,2% soit le double de l'année dernière à la même époque. Il est entre autres boosté par le regain de confiance des entreprises.
L'association aérienne ajoute «Bien qu'il n'y ait pas eu de gain de part de marché des classes first et business sur le trafic global, la croissance dans le secteur des long-courriers a été robuste. Cela a aidé à maintenir le yields des classes "Avant" sur certains marchés. Cela a aussi contribué à supporter les performances financières des compagnies internationales, comparé à celles des compagnies court-courriers de certaines régions, principalement tournées sur le secteur loisir».
