Trois partenaires et une préoccupation, la réduction des émissions de gaz à effet de serre dans le secteur de l'aérien. L’aéroport Stockholm-Arlanda, les services de navigation aérienne suédois (LFV) et SAS annoncent qu'à partir du 1er janvier 2015, il sera possible de prédire à la minute près l’heure d’atterrissage d’un avion, l’heure d’arrivée à la porte et l’heure de départ, ainsi que l’heure de décollage
Cet engagement devrait permettre une meilleure ponctualité, mais aussi une utilisation de carburant moins importante et une réduction d’émissions de Gaz à Effet de Serre. Les trois partenaires (Swedavia, LFV et SAS) collaborent à des projets depuis une dizaine d’année. Ils ont ainsi développé l’approche «écologique» à 10 000 mètres (environ 33 000 pieds) en mai 2008, mais également l’approche dite «en courbe» vers la piste 3 de l’aéroport de Stockholm-Arlanda, régulièrement utilisée par SAS. L'approche collaborative permet aux trois parties de coordonner leurs projets afin d’en accélérer le développement. «Nous sommes en train de passer à l’étape suivante. Nous savons ce qu’il reste à faire, et nous commençons à mettre tout cela en place», a indiqué Kerstin Lindberg Göransson, directrice de l’aéroport de Stockholm-Arlanda.
Les trois partenaires travaillent actuellement sur un projet européen de taille qui vise à créer un espace aérien européen unique. Ce projet (appelé SESAR JU) permettra de réduire les temps d’attente, de supprimer les longues routes inutiles et ainsi de réduire la consommation de carburant et les émissions de CO2 de 10% d’ici 2020. «La Suède a été le premier pays à développer des innovations en faveur de la réduction des émissions dans le secteur aérien. A présent nous allons plus loin, afin de créer des conditions favorables aux approches écologiques encore plus avancées», explique Thomas Allard, directeur général de LFV.
Les trois partenaires travaillent actuellement sur un projet européen de taille qui vise à créer un espace aérien européen unique. Ce projet (appelé SESAR JU) permettra de réduire les temps d’attente, de supprimer les longues routes inutiles et ainsi de réduire la consommation de carburant et les émissions de CO2 de 10% d’ici 2020. «La Suède a été le premier pays à développer des innovations en faveur de la réduction des émissions dans le secteur aérien. A présent nous allons plus loin, afin de créer des conditions favorables aux approches écologiques encore plus avancées», explique Thomas Allard, directeur général de LFV.
