Pas content, Tony Tyler, président du conseil des gouverneurs de l'Association internationale du transport aérien (IATA), qui refuse que l’aviation commerciale soit montrée du doigt par les écologistes et défenseurs de l’environnement de tout poil.
Pour IATA qui reconnait que l’industrie aérienne pèse à hauteur de 2% dans l’émission mondiale de Co2, la solution qui consisterait à faire payer les compagnies serait un coup dur. Et de préciser « que taxer les compagnies reviendrait à taxer les clients ». Selon les spécialistes comme Mike Rought « les efforts engagés par les compagnies aériennes ne porteront pas leurs fruits avant 2020 même si déjà l’optimisation des routes ou l’utilisation de gros porteurs sont des réponses intéressantes ».
Tony Tyler en a profité également pour fustiger le gouvernement britannique et sa future taxe environnementale qui frappera l’aviation commerciale, dont il dit « que pas un seul penny n’ira directement à l’environnement alors que nos développements en faveur de l’environnement auraient besoin de ces aides financières». Cette taxe qui ne devrait pas concerner les passagers en transit devrait être mise en place pour associer les compagnies aux efforts nationaux britanniques.
Tony Tyler en a profité également pour fustiger le gouvernement britannique et sa future taxe environnementale qui frappera l’aviation commerciale, dont il dit « que pas un seul penny n’ira directement à l’environnement alors que nos développements en faveur de l’environnement auraient besoin de ces aides financières». Cette taxe qui ne devrait pas concerner les passagers en transit devrait être mise en place pour associer les compagnies aux efforts nationaux britanniques.
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