Après les rumeurs, voici venu le temps des confirmations. Le Crédit Suisse a bien été mandaté par les propriétaires du London City Airport pour être vendu. Implantée en plein centre de la capitale britannique, la plateforme a de quoi séduire malgré les restrictions qui lui sont imposées
Situé à l'est de Londres dans les Docklands, le London City Airport vise principalement les vols de proximité avec des appareils à décollage et atterrissage courts. En 2014 il accueilli 3,6 millions de passagers et prévoit d’atteindre la barre des 4 millions en 2017.
Si ce hub de CityJet a des ambitions internationales comme le classique Londres/New York de BA via Shannon, il lui faudra cependant investir pour se développer. Autre point noir, les contraintes techniques qui pèsent sur le site : horaires d’exploitation limités en raison de son implantation en centre-ville, slots limités, faible taille de l’aérogare… Un constat fait par les actionnaires qui veulent aujourd’hui s’en séparer.
Plusieurs acquéreurs potentiels se disent intéressés par l’offre. Les chinois qui étudient le dossier voudraient en faire une plateforme de transit vers l’Europe. Vinci, souvent cité dans le dossier, n’a pas encore fait connaître sa position mais apparait comme le favori. Pour l’actuel propriétaire, Global Infrastructure Partners, qui possède 72% du capital (le reste est dans les mains d’Oaktree Capital management) aucune décision ne devrait être prise cette année.
Si ce hub de CityJet a des ambitions internationales comme le classique Londres/New York de BA via Shannon, il lui faudra cependant investir pour se développer. Autre point noir, les contraintes techniques qui pèsent sur le site : horaires d’exploitation limités en raison de son implantation en centre-ville, slots limités, faible taille de l’aérogare… Un constat fait par les actionnaires qui veulent aujourd’hui s’en séparer.
Plusieurs acquéreurs potentiels se disent intéressés par l’offre. Les chinois qui étudient le dossier voudraient en faire une plateforme de transit vers l’Europe. Vinci, souvent cité dans le dossier, n’a pas encore fait connaître sa position mais apparait comme le favori. Pour l’actuel propriétaire, Global Infrastructure Partners, qui possède 72% du capital (le reste est dans les mains d’Oaktree Capital management) aucune décision ne devrait être prise cette année.
