Selon la dernière étude «GBTA Foundation’s 2013 Industry Pulse: Business Travel Buyers’ Sentiment», les entreprises américaines sont optimistes en ce qui concerne le voyage d’affaires. Mais elles redoutent tout de même une augmentation des coûts des déplacements professionnels, les fournisseurs profitant de la reprise de la demande pour tirer les négociations à leur avantage.
L’étude a été l'occasion d'interroger 297 acheteurs américains en octobre 2012. Elle révèle que les prix des déplacements professionnels pourraient grimper de 4.6 % pour les billets d’avion Eco soit 492 $/trip et de 8.3% pour un vol international dans la même classe (soit 1,318$/trip). L’hôtellerie va également voir ses prix augmenter aussi bien en Amérique (161 dollars, +3,7 %) qu’à l’international (297 dollars, +8 %). De plus, les Travel Managers d’outre-Atlantique tablent seulement sur une augmentation de leurs budgets de 2,9 %. Ils ont également précisé que les déplacements professionnels à l’étranger représenteront 30 % de leurs budgets.
Pour la majorité des gestionnaires de voyages interrogés, les tarifs plus élevés (65 %) et les frais d'avion (60 %) seront les principales raisons de la hausse des dépenses en 2013. Deux acheteurs sur cinq (42%) estiment que l'augmentation des dépenses sera alimentée par la progression du nombre de déplacements. Et, 33 % s'attendent à dépenser plus parce qu'ils mettent plus de collaborateurs sur la route. Pour les professionnels du secteur interrogé, la négociation de réductions dans les hôtels (48 %) sera plus difficile cette année, mais également dans l’aérien (29 %) et le MICE (28 %).
Pour la majorité des gestionnaires de voyages interrogés, les tarifs plus élevés (65 %) et les frais d'avion (60 %) seront les principales raisons de la hausse des dépenses en 2013. Deux acheteurs sur cinq (42%) estiment que l'augmentation des dépenses sera alimentée par la progression du nombre de déplacements. Et, 33 % s'attendent à dépenser plus parce qu'ils mettent plus de collaborateurs sur la route. Pour les professionnels du secteur interrogé, la négociation de réductions dans les hôtels (48 %) sera plus difficile cette année, mais également dans l’aérien (29 %) et le MICE (28 %).
